Le principe de guilde s'est développé au Moyen-âge comme étant un groupe d'hommes effectuant la même activité, possédant des règles ainsi que des avantages bien précis. Ainsi, il existait plusieurs sortes de guilde : la guilde des marchands, celle des chasseurs ou même encore la guilde des voleurs. Ici nous avons à faire au règlement intérieur de la guilde de Saint-Omer. C'est une commune fortifiée du nord de la France correspondant aujourd'hui au Pas-de-Calais. Ce site est célèbre comme étant un monastère qui accueille de nombreux pèlerins. Les guildes font parties du processus de développement urbain, et bien que Saint-Omer soit avant tout un monastère ce n'est pas pour autant une confrérie que l'on étudie. En effet, comme dit précédemment, les gens ont commencé à se regrouper par affinité en formant des guildes. Les villes du Moyen-âge ont eu besoin pour s'émanciper d'une organisation administrative rigoureuse, selon le type d'administration on distingue différentes sortes de villes (...)
[...] Ici nous avons à faire au règlement intérieur de la guilde de Saint-Omer. C'est une commune fortifiée du nord de la France correspondant aujourd'hui au Pas-de-Calais. Ce site est célèbre comme étant un monastère qui accueille de nombreux pèlerins. Les guildes font parties du processus de développement urbain, et bien que Saint-Omer soit avant tout un monastère ce n'est pas pour autant une confrérie que l'on étudie. En effet, comme dit précédemment, les gens ont commencé à se regrouper par affinité en formant des guildes. [...]
[...] Ce n'est qu'un peu plus tard à la fin du XIIeme siècle que toutes les villes de communes se mettent à édicter leur chartre et ainsi devenir des personnes moral de droit public. Certaines villes seront tellement importantes qu'il faudra même les inclure dans la pyramide féodale. La commune exerce donc seule son autorité sur la population, elle a ses organes propres, la guilde fait partie de ses organes. La guilde, en tant que groupe de personnes doit pouvoir s'organiser correctement, et en l'occurrence la guilde des marchands doit avoir des règles strictes. Les règles sont regroupées sous un règlement, le même règlement qu'il nous est chargé de commenter. [...]
[...] II) Concernant les banquets. L'organisation d'un banquet nécessite quelques règles spécifiques. On est face une opposition concernant les membres de la guilde et l'attitude à avoir quand un étranger à la guilde participe à un banquet Les membres de la guilde. Les obligations du doyen. Le doyen en temps que responsable de la bienséance au sein de sa guilde doit accomplir certaines formalités quant à la création d'un banquet. En dehors du fait de réunir les aliments et boissons nécessaires à la réalisation d'un banquet, il faut prévenir les convives. [...]
[...] Les étrangers à la guilde. Il paraît bien évident qu'étant donner la mesure secrète de la préparation d'un banquet, les étrangers à la guilde n'ont pas le droit d'y participer. En effet, le texte prévoit même que si un marchand étranger à la guilde profite d'une manière frauduleuse du banquet : ce dernier sera condamné par une amende. Les étrangers sont donc taxés sont donc taxés pour les moments passés avec la guilde, hormis les exceptions abordées précédemment. Ce principe va de paire avec le principe de non solidarité car il prévoit tous deux un rejet concernant ce qui n'appartient pas à la guilde. [...]
[...] Seul les marchand faisant parti de la guilde sont conviés au banquet, bien que certains privilèges soient accordés a certains. Les taxes et les privilèges. Certaines taxes sont imposées à certains membres de la guilde alors que d'autres qui n'en font même pas partis auront le privilège d'être invités d'honneur. Le texte parle évidemment des taxes imposées, chaque personne amenée avec soi au banquet est susceptible de payer une taxe : soit douze deniers par tête. Dans le texte cela n'est précisé que pour les fils, neveux et serviteurs. [...]
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