Peste, XIVe siècle, maladie, méthodes religieuses
Outre un mauvais rêve, c'était, pour les européens du XIVe siècle, l'oeuvre de Dieu qui s'abattait sur les hommes : un signe que ces derniers avaient péché et que leur punition était arrivée sous la forme de ce fléau que fut la peste des années 1347-1349.
[...] / Eclairer cette notion avec l'idée qu'on se fait de la peste = c'est la première grande épidémie vraiment connue. Une étoile = deux auteurs font référence à une étoile comme le présage du malheur à venir. Les juifs = accusés d'avoir empoisonné les puits, cours d'eau ainsi que l'air. Parler de la persécution dont ils ont fait l'objet et des conséquences sur la société (hausse des prix etc.) / Mais aussi les pauvres mutilés et les nobles, dans une moindre mesure. [...]
[...] En définitive, en quoi pouvons-nous dire que la peste fut un des bouleversements majeurs du XIVe siècle ? Quelles en furent les conséquences sur la société ? Si la société tenta d'expliquer les origines et les causes de la maladie par des facteurs multiples les symptômes de la maladie étaient bien connus et les médecins semblaient incapables de pouvoir y faire face (II). Les mesures prises relevaient ainsi souvent du fantasque mais pouvaient être parfois rationnelles (III) pour combattre la maladie. [...]
[...] OU accepter le fléau et profiter de la vie restante. Les conséquences sur la société : mortalité conséquente (chiffres ) + développement de l'ignorance (car pas de maîtres) + essor de la peur/imagination Guérir Le rôle des médecins : certains fuirent, d'autres restèrent mais d'aucuns n'eurent de remède préétabli. Solution d'une cure préservative et curative Les mesures : mesures rationnelles visant à éloigner les malades, fermer les portes de la ville etc. Les méthodes religieuses : prières publiques, purges, supplications, remèdes miracles . [...]
[...] En quoi pouvons-nous dire que la peste fut un des bouleversements majeurs du XIVe siècle ? - Introduction et plan détaillé Introduction « Le fléau n'est pas à la mesure de l'homme, on se dit donc que le fléau est irréel, c'est un mauvais rêve qui va passer » (Camus, La Peste (1947)). Outre un mauvais rêve, c'était, pour les européens du XIVe siècle, l'œuvre de Dieu qui s'abattait sur les hommes : un signe que ces derniers avaient péché et que leur punition était arrivée sous la forme de ce fléau que fut la peste des années 1347-1349. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture