[...] Le nom Moyen Age est né du mépris qu'ont de cette période les humanistes de la Renaissance. Pour Pétrarque au XIVème la période faste de la civilisation était l'antiquité et plus particulièrement l'antiquité romaine et se propose à la renaissance de faire revivre cet âge d'or de la culture. Par conséquent l'âge de déclin de barbarie et d'obscurité qui se place entre ces deux pôles de civilisations est l'âgee moyen, ce qui implique réellement ce profond mépris.
Au XVIIème siècle, on commence a parler et considérer les auteurs du Moyen Age, mais aussi à l'étudie. Les pays d'Allemagne en sont les précurseurs avec Keller qui en 1618 pose les premières notions académiques de datation ; pour lui le Moyen Age commence avec les invasions barbares et finit en 1453 avec la prise de Constantinople. Dans le reste de l'Europe il faut attendre le XVIIIème et la période des lumières pour obtenir une réhabilitation de la période.
Au XIXème les libéraux sont fascinés par cette époque des communes, les catholiques italiens par la grandeur de la papauté, les romantiques par les invasions qui ont formé la majeure partie des pays actuels. Cependant le terme Moyen Age garde encore un certains nombre de connotations qui ne sont toujours pas abolies aujourd'hui. Ces 10 siècles d'histoire en font une longue période d'étude, sans unité réelle et bornée par des dates arbitraires. (...)
[...] Antoine en Egypte après l'édit de tolérance se retire dans le désert a la recherche de spiritualité monos en grec veut dire seul. Ce principe de solitude ce développe, de petites communautés s'isole du reste de la société (cenobidisme). Pacôme organise des monastères, certains en villes ce qui séparent les moines des ermites qui eux vivent seuls dans des lieux isoles. Ce mouvement n'est pas toujours bien accueillis par la hiérarchie ecclésiastique. Un cas célèbre d'ermitage est celui de Symeon le stylite mort en459 et qui est monte sur une colonne pour se rapproche du ciel ce qui a produit une afflux de curieux a qui il a pu rependre la bonne parole. [...]
[...] Le développement du grec va de pair avec celui de l'orthodoxie. VIII. Le rêve perdu. A. La reconquête de Justinien Elle se fait grâce au général Bélisaire qui conquiert l'Afrique du Nord avec le soutient des populations locales contre les Vandales. Justinien avait du payer les Perses ennemis traditionnel de l'empire afin de garantir la paix sur le front oriental. Les Ostrogoths présent Italie a cette époque vont résister vingt ans a la seconde étape de la reconquête qui commence en 535 et met cinq ans pour arriver jusqu'à Ravenne mais Totila le nouveau chef des Ostrogoths organise la résistance dans le nord ouest de la botte; les deux camps appliquent la stratégie de la terre brûle, ce qui bien sur ruine les récoltes et appauvris le pays. [...]
[...] La Législation postérieure à l'établissement des barbares est le régime germanique de personnalisation des lois. Cela signifie que l'on juge un homme par rapport aux lois de son peuple d'origine et non pas du peuple qui contrôle la terre ou ont été accomplit les faits. Les barbares n'ayant pas l'habitude d'écrire excepté quelques runes, leurs loi vont donc entre rédigé en latin, les traductions ne sont pas anodines car certains principes sont adapté pour cadré avec les termes du droit Romains. [...]
[...] Les légions de l'empire romain d'orient se divisent en deux éléments. D'une part les tagmatas (mercenaires) et d'une autre les stratiotes, paysans suffisamment aise pour financer l'équipement d'un soldat ou alors se rendre a l'armée en contrepartie l'état leur assure une protection fiscale. Les sratiotes sont présents dans toutes les provinces ils peuvent donc être très rapidement mis en rang par l'exarque qui devient alors stratège. Comme les stratiotes défendent leurs propres terres ils sont très fiables et motive. O. [...]
[...] Cependant les Grandes Invasions proprement dites ne recouvrent que les V et VIeme siècles. Elle sont l'événement qui fait rentre l'Europe dans la partie médiévale de son histoire puisqu'elle vont amener la chute de l'empire Romain d'Occident reconnu comme date de départ précédemment. I. Affrontements entre Barbares et Rome A. Les causes La faiblesse de la démographie des Romains, combinée avec la faiblesse du pouvoir politique, l'Empire est désorganisée Le dynamisme des envahisseurs qui les a conduit au surpeuplement Le fort appât du butin et du pillage. [...]
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