Présentation d'Histoire sur les calamités spirituelles et intellectuelles de l'Europe à la fin du Moyen Âge.
[...] Le système de la seigneurie rurale est touché de près par cette crise, elle se transforme peu à peu pour devenir commercial. Les répercussions de cette crise sur les villes sont multiples. D'abord, elles subissent un accroissement dû aux migrations de la population venant de la campagne. Les points d'échange dans le commerce ainsi que le transport maritime sont diminués par faute d'insécurité, tel que pour éviter la présence de pirates : Les difficultés et les lenteurs des relations commerciales sont un autre trait spécifique de l'économie ancienne. [...]
[...] L'Europe et le monde XVIe, XVIIe, XVIIIe siècle. Paris : Armand Colin 3e Éd p. François Lebrun. L'Europe et le monde XVIe, XVIIe, XVIIIe siècle. Paris : Armand Colin 3e Éd., p Ibid. p Ibid. p Ibid. p. 19. [...]
[...] Ronald Gosselin Dans le cadre du cours HIST 1206 FL 10 La civilisation occidentale : depuis la Renaissance jusqu'à la Révolution française Université de Sudbury 4 juin 2010 Les calamités spirituelle et intellectuelle de l'Europe à la fin du Moyen Âge La fin du Moyen Âge est marquée par de grands changements. Les deux principales calamités qui caractérisent cette période sont apparues par la famine et la peste noire et ensuite par la guerre de Cent Ans. Les répercussions sont multiples, on note des transformations au niveau du régime seigneurial, de la religion et des institutions politiques. [...]
[...] L'église était le point central de toutes les sociétés. Aux XIVe et XVe siècle, l'église va vendre des indulgences pour que ces fideles puissent avoir leur salut, de plus, elle va promouvoir le culte des saints, tel que la Vierge marie. Pour trouver un responsable des malheurs de la société, l'église accuse les femmes d'en être responsables. L'église n'a pas été épargnée par la crise, en effet, la théocratie est remise en question. Plusieurs événements se produisent, tel que le grand schisme de 1378-1417 et provoquent un déshonneur face à la spiritualité des papes. [...]
[...] Les calamités du XIVe et XVe siècle ont causé une surmortalité dans toute l'Europe. Le mode de vie rural, le commerce, les techniques de production se sont améliorées. L'église a été ébranlée par cette crise. Cette crise s'achève après la deuxième moitié du XVe siècle : Cette hausse-récupération a été rendue possible, après 1450 environ, par une conjoncture plus favorable (recul provisoire des trois grands fléaux, peste, famine et guerre) dans des structures démographiques inchangées.»[4] En Europe, ce qu'on appelle le monde médiéval change de visage pour laisser place à la Renaissance. [...]
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