Empire byzantin, Constantin, Huns, Empire romain d'Orient, Justinien, macédoniens, Comnènes, partitio romanie, conquête turque, Empire assiégé
A la fin du IVe siècle (395), l'Empire romain se trouve coupé en deux avec une partie occidentale, et l'autre orientale. L'Empereur Constantin crée la ville de Constantinople qui devient la capitale de l'Empire d'Orient.
Au Ve siècle, l'Empire romain d'occident est détruit par la massive migration des peuples qui proviennent de l'Europe de l'Est et de l'Asie (exemple des Huns).
[...] L'Empire du XIVe siècle, pâle image de lui-même. Pour prix de l'alliance avec les Italiens, les Byzantins leur cèdent une très grande partie de leurs îles. Plus les nombreuses offensives venant des voisins extérieurs tels que les Turcs ottomans et les Serbes qui mettent une grosse pression à l'Empire donnent une pâle image de lui-même. La conquête turque et l'Empire assiégé. Au XVe siècle, les Turcs ottomans continuent d'avancer et prennent toute la Turquie actuelle. À l'ouest, ce sont les Serbes et les Bulgares qui se rendent maîtres des territoires. [...]
[...] Consolidation et essor de l'Empire sous les Empereurs macédoniens et Comnènes (fin IXe fin XIIe siècles). Le Xe siècle est le moment de l'apogée de l'expansion byzantine.Les deux Empereurs importants sont Basile II (meurt en 1025), représentant de la famille des Macédoniens, qui reforme un grand Empire consolidé, l'autre est Manuel Ier de la dynastie des Comnènes (meurt en 1180). Ces successions familiales ont apporté des difficultés : Arrivée depuis la Normandie des Normands (vikings) qui descendent vers le Sud attirés par les températures et les richesses. [...]
[...] Il n'y a pas de réel principe dynastique ce qui cause des crises. Entre 730 et 840, une crise religieuse éclate, car la religion chrétienne (orthodoxe/grecque) apporte trop d'importances aux images/représentations avec le meilleur exemple des murs iconoclastes dans l'Église. L'Empereur Léon III pense que le culte des images est trop poussé donc effet de superstition avec l'idolâtrement. Il y a donc une crise de l'iconoclasme où tout est détruit autour de la fonction de l'image dans la religion, cela provoque donc une séparation entre les iconoclastes et les iconocules. [...]
[...] Les règles de succession ne sont pas fixes et sont partagées entre le choix dynastique ou le choix électif, par exemple le roi Alexis Ier de Comnènes désirait que son fils soit élu. La tradition religieuse se fait aussi par les cérémonies qui mettent l'Empereur en jeu. Quand ils arrivent devant lui ils doivent s'agenouiller prokynèse) et ne surtout pas le regarder dans les yeux, ce qui montre sa supériorité. Une des caractéristiques de la vie de cour de Byzance est la somptuosité de la ville, car c'est une des plus riches de l'époque. L'Empereur possède un palais immense à Constantinople et les villes sont immensément décorées. [...]
[...] III] L'Empire entre destructions et rénovations (XIIIe-XVe siècles). Les crises de la fin du XIIe siècle et la partitio romanie. En 1204, il y a la première disparition de l'Empire byzantin dû à la 4e croisade. En effet, en 1187 le général Kurde Saladin conquiert une grande partie du Moyen-Orient et prend Jérusalem aux États latins d'Orient et empêche les chrétiens de revenir, en 1190 il y a la 3e croisade dans le but de reprendre les places, mais c'est un échec donc départ de la 4e croisade. [...]
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