Sciences humaines et arts, église en réforme, théories et actions Xe - XIe siècle, libertas Ecclesiae, Trêve de Dieu, pontificat de Léon IX
Dés le 10e siècle, principe de Libertas a d'abord un 1er sens de privilège, c'est-à-dire un statut spécial, un droit spécial. Donc le concept de libertas Ecclesiae, c'est l'idée sur laquelle l'église a un statut spécial vis-à-vis de toutes les autres institutions. Statut spécial qui lui accorde une liberté, mais une liberté de type juridique, liberté vis-à-vis des pouvoirs, en particulier des élections ecclésiastiques :
Élection pontificale
Élection épiscopale
Élection abbatiale
Et également ce statut spécial s'exprime dans la revendication de la désignation de tous les clercs du diocèse par l'évêque lui-même.
[...] Empereur d'occident ne tentera plus une réunion Conclusions : Au totale la reforme transforme et le reste de la société chrétienne, l'église est définie en tant que institutions et a définit sa place qu'elle voulait occuper. La question de l'autorité est définit et tout le 12ème siècle va être la pénétration simonie et concubinage va disparaitre. A partir du début du 13ème siècle, clergé serra effectivement réforme démarrage da la grande phase pédagogique, non concubinaire, non simoniaque. Les séculiers seront concurrencés par les mendiants. [...]
[...] Hors cela entraine des mouvements de contestations. L'initiative nouvelles des eveques, il estime que l'initiative des eveques est inadapté, et empiète sur la mission du roi qui est la paix. La paix appartient à la sphère privée. Pour lui la question de la guerre et de la paix repose dans les mains du roi. Il n'accepte pas que dans les assemblée de paix les évêques s'entourent du peuple, puisque dans les conciles de Trève les chevaliers doivent s'engager de préservé. [...]
[...] Concile d'Arles va étendre la législation de la treve. Les objectif ne sont pas la meme chose que la paix, il s'agisit de permettre au guerrier de respecter, sur leur vie de chrétien. Depuis le 9ème siècle on interdit de se battre le dimanche, en 1023 les serments de Paix, avaioent pévus une protection spéciale aux chevaliers de porter les armes. Le concile d'arles va plus loins, les evques interdit toute violence, les 4 jours saints sont préservé de toute action guerrière. [...]
[...] Donc l'église définit elle-même sa propre autorité sur elle-même et donc sa juridiction interne. Ce sont les trois notions qui sont derrière la notion de Libertas Ecclesiae. Quel sont les sources et modèle de ces principes: Le 1er modèle à la base de tous c'est le modèle évangélique, c'est-à-dire c'est l'église de Jérusalem, église primitive complètement idéalisé, idée de cette église primitive comme reposant uniquement sur ses propres valeurs, c'est-à-dire sur l'enseignement du Christ, donc l'église serais définit que par l'amour chrétiens entre les membres, les fidèles, d'où un groupe en rupture totale avec la société qui l'entoure. [...]
[...] En meme temps qu'ils exerce la guerre leur salut. Certain accepte par piété Interprétation Interprétation de ces mouvement nous voyons, il y a une sanction spirituel pour parjure, mais concrètement se sont des limites surtout les évêques se donnent le moyen de faire respecter cela, la force armée. L'archeveque, a lancé un concile pour promouvoir Haymond organise la levé au nom de son autorité épiscopal il convoque les hommes pour se battre il mobilise aussi des clercs, en particulier on va voire Haymond s'allier a Geoffroy pour s'emparer du châteauneuf sur Cher, qui appartient au Seigneur Déols, les motivations de l'archevqque se voit . [...]
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