L'Empire Byzantin, ou Empire Romain d'Orient, fondé par Constantin le Grand le lundi 11 mai 330, était la partie de l'Empire romain qui avait survécu à la chute de l'Empire d'Occident et qui perdura donc de 330 à 1453. Celui-ci au début de la période qui nous concerne est divisé en quatre Etats distincts : celui de Constantinople même, dirigé par Baudouin de Flandres, puis celui de Trébizonde gouverné par David Comnène, dans les montagnes de l'Épire (Europe) c'est Michel Ange-Doukas, et enfin la partie d'Asie Mineure prise en main par Théodore Lacaris.
Issu d‘une famille aristocratique, un jeune général populaire au sein des armées et du clergé, du nom de Michel Paléologue, devient suite à une révolution de palais en 1258, le basileus Michel VIII Paléologue . Et le 15 août 1261, avec l'aide des Génois, il reconquiert Constantinople, qui était aux mains des Latins depuis 1204, donc suite à la quatrième croisade. C‘est par la porte d'Or, et précédée d‘une grande icône de la Vierge Hodegetria, « celle qui montre la voie », qu'il fit une entrée triomphante dans la ville.
[...] Enfin, un troisième affrontement se déroula de 1375 à 1381, cette fois les deux républiques se disputaient l'île de Ténédos, clef des détroits et de la Mer Noire. Mais ce ne sont là que les formes aiguës en effet de façon générale, l'hostilité est sans cesse omniprésente sur les mers comme le montre des faits de piraterie : qu'ils soient vénitiens, génois ou bien encore catalans, les pirates écument selon les époques l'Adriatique, la mer Ionienne, l'Egée, les détroits, la mer Noire. [...]
[...] Constantinople, capitale de l'Empire est une ville dont la richesse et le luxe fascinent tous ceux qui la visitèrent, comme nous le montre Michel Kaplan dans son ouvrage intitulé Tout l'or de Byzance Issu d‘une famille aristocratique, un jeune général populaire au sein des armées et du clergé, du nom de Michel Paléologue, devient suite à une révolution de palais en 1258, le basileus Michel VIII Paléologue. Et le 15 août 1261, avec l'aide des Génois, il reconquiert Constantinople, qui était aux mains des Latins depuis 1204, donc suite à la quatrième croisade. C‘est par la porte et précédée d‘une grande icône de la Vierge Hodegetria, celle qui montre la voie qu'il fit une entrée triomphante dans la ville. Problématique : Qu'est-ce que Constantinople sous les Paléologues ? [...]
[...] L'Empire réduit à une portion congrue que l'Occident, répugne à secourir. Finalement les divisions Ottomanes menées par Mehmet II dit le Conquérant achèvent celle qui fut dans le temps la Nouvelle Rome, le 29 mai 1453 : soit 1123 ans et 18 jours après l'inauguration par Constantin Ier, Constantin XI meurt en défendant ses murailles. La fin de Byzance connut un succès considérable auprès des auteurs français, ce notamment au théâtre et cet à travers un extrait de l'œuvre de Paul Morand de 1959, que nous conclurons. [...]
[...] Cependant, cette entente ne dura pas longtemps puisque dès l'été 1263, suite à une défaite navale contre les Vénitiens, ils perdirent le respect du basileus, qui finit par les renvoyer en dehors des murs, dans le faubourg de Péra-Galata, et après avoir vu leurs comptoirs détruits par les Vénitiens ils obtinrent d'Andronic II en 1303, le droit de le clore de murs, à condition de ne rien construire hors de ceci. Dès lors, une véritable ville génoise s'élève face à Constantinople. De plus de 1261 à 1270, des hostilités ouvertes eurent également lieu pour le contrôle de l'Égée. [...]
[...] Capitale du grand empire, Constantinople est depuis des siècles, une ville cosmopolite qui attirait de nombreux étrangers. Notamment, des marchands en effet Constantinople étaient en plein cœur d'un tracé commercial entre Occident et Asie. Si par le passé ce furent d'abord les marchands syriens présents au VIIIème, pour la plupart musulmans ajouté au fait qu'à l'époque la ville compte déjà au moins une mosquée cela eut pour effet de favoriser l'afflux de marchands d'autres provinces comme les Égyptiens. Au Xème ce furent les Russes qui dominaient le commerce byzantin, enfin dès le début du Xième s'amorce une lutte acharnée entre Occidentaux, pour la conquête des marchés orientaux, les deux principaux rivaux sont Gênes et Venise. [...]
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