Sicile, Moyen-âge, inspiration orientale, civilisation arabo-sicilienne, civilisation, édifices civils, architecture, cathédrale, Faksafa, sciences religieuses, littérature, poésie, art décoratif, théologie, vie intellectuelle
Pour qui visite la Sicile aujourd'hui, la multitude des éléments architecturaux et les motifs d'inspiration arabe ou orientale frappe et on les retrouve sur les monuments, oeuvres d'art, édifices civils et même les églises. La quasi-totalité de ses motifs et vestiges d'inspiration orientale date de l'époque normande. Il n'empêche que tous ont été puisés à un répertoire préexistant, qui datait de la période islamique, tout comme ces motifs/éléments architecturaux ont été élaborés par des artisans et ouvriers d'origine arabe, qui perpétuaient donc les techniques et traditions de leurs ancêtres.
Il en va de l'art et des techniques, comme de la littérature, tant il est vrai que l'école poétique de Sicile ne date pas de l'époque de Frédéric II, mais remontait au temps des poètes et érudits des cours aghlabides, fatimides et kalbites. Il y a donc bien au Moyen Âge une civilisation arabo-sicilienne, qu'il s'agit de découvrir.
[...] Ce qui au dela des rituels, ce sont les positions sur la manières de la perfection morale doit etre traité, on va donc avoir des confréries différentes avec des visions diff. La Qalandarigya, une totale liberté d'esprit, on va les interdires assez vites. On va arriver a des conceprtions plus dures, auto mutilation, discipline militaire poussé a l'extrême, la Safaviyya, elle est fondait en Iran et c'est celle la plus dure, ils vont très vite devenir un ordre militaire, ils vnt prendre le pouvoire en Perse et vont créer une dynastie. [...]
[...] La quasi-totalité de ses motifs et vestiges d'inspiration orientale datent de l'époque normande. Il n'empêche que tous ont été puisés à un répertoire préexistant, qui datait de la période islamique, tout comme ces motifs/éléments architecturaux ont été élaborés par des artisans et ouvriers d'origine arabe, qui perpétuaient donc les techniques et traditions de leurs ancêtres. Il en va de l'art et des techniques, comme de la littérature, tant il vrai que l'école poétique de Sicile ne date pas de l'époque de Frédéric II mais remontait au temps des poètes et érudits des cours aghlabides, fatimides et kalbites. [...]
[...] On a peut etre un indice de comment on pouvait concevoir la mosquée. Si les cathédrales se sont construitent sur le dos, des mosquées. [...]
[...] C'est par son entremise que les sciences religieuses se développent et la Sicile devient un des foyers du malikisme, notamment à partir de Syracuse (qui devient le centre de ces grands travaux de sciences religieuses) fournissant au monde musulman de prestigieux juristes. Deux des plus grands juristes des XIe et XIIe siècles sont formés en Sicile et sont malikites : Ce sont Ibn Yunis Tamini (qui meurt en 1059) et Al-Dhaki (meurt en 1118) qui rédige depuis la Sicile le plus long commentaire jamais écrit du Coran (1000 chapitres qui épuisent l'exégèse coranique, c'est le Kitab Al-Istila). [...]
[...] Une science sous influence La Sicile ne s'est pas véritablement illustrée dans ce domaine, elle l'a était uniquement avec des pratiques hérité des grecs. La plupart des traités scientifiques, n'ont jamais été rien d'autres que des traductions des traités grecs de sorte que le traité de botanique a été rédigé en Sicile, sauf que ce n'était qu'une traduction littérale d'un grec, Dioscoride, en un sens rien de nouveau, tous les autres traité scientifiques Siciliens ne seront que des traductions de grecs. [...]
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