Capétiens : domaine qui correspond à l'honor des Robertiens ie Orléans, Paris, Senlis, Compiègne et grandes forteresses comme Dreux, Etampes, Poissy, Dourdan, Melun ; grandes abbayes : Tours, Saint-Denis, Saint-Maur des fossés, Fleury ïƒ roi = pouvoir de ban, délègue son administration à des ministériaux. C'est aussi un seigneur châtelain.
[...] Mais faiblesses avec les actes de justice rendus sur les conflits de coutume entre seigneurs laïcs (qui ne viennent même pas) et les établissements ecclésiastiques. Sentence = excommunication ou concordia ie arrangement, mais si non respect, sentence religieuse. Difficultés pour le roi à mettre un vrai pouvoir et même pour les sanctions. La présence épiscopale se prolonge avec Philippe Ier mais elle se resserre autour du domaine royal qui traduit la zone d'influence royale. Plus de comte de Francia après 1084, mais apparition de nouveaux seigneurs associés aux décisions du gouvernement. [...]
[...] Ils participent aux décisions politiques (distinction avec les autres). Noblesse : XIIème l'aristocratie terrienne est dominante ie pouvoir et terres. Les lignages nobles affirment leur supériorité. BLOCH : la famille des carolingiens s'éteint et apparition d'une nouvelle noblesse aux temps féodaux qui possèderait une nouvelle fortune, une vie avec un style particulier (métier des armes), basée sur la seigneurie et la chevalerie mais CRITIQUES. Dans les régions du nord, l'influence carolingienne dure très longtemps ex : séduction en priorité des femmes de lignage carolingien. [...]
[...] XIIIème : rapprochement des deux statuts. La chevalerie devient un idéal commun fusion des deux. Les nobles adoptent les règles des chevaliers (différence selon les régions). Mais d'une manière générale, la notion de noblesse devient vague à partir de 1150 car c'est la 2ème période du choc châtelain donc moins de possibilité de distinguer les nobles et les chevaliers. Mais hypothèses différentes selon les historiens ex : BARTHELEMY Nobles : loi, richesse foncière, dons aux églises, fondation d'églises, exploits militaires et mariages dans le groupe. [...]
[...] La plupart des évêchés du nord sont sous influence royale : Sens. Mais jeu d'influences complexes entre les évêchés et le roi n'en est pas toujours bénéficiaire. Grands laïcs : certains ont un pouvoir fort, ex le comte de Flandres, le duc de Normandie, comte de Blois-Champagne, Duché de Bourgogne, d'Aquitaine, comte de Gascogne, comte de Toulouse. Dans ces zones, le roi n'entretient plus de lien direct avec les vicomtes qui sont sous l'autorité des ducs. Mais toujours relation avec les ducs ou les comtes. [...]
[...] Texte page 44 : 1040, mort de Foulques III Nerra. Son fils Geoffroy II Martel prend la suite de 1040 à 1060. Foulques à octroyé une commendise à Aubri de Mont Jean tenue en bénéfice (en échange de sa fidélité). Aubri lève des coutumes au nom du comte, mais aussi des mauvaises coutumes usurpations et déviances. Les moines plaident auprès du comte, convocation d'Aubri : on rétablit la commendise directe. Sous Aubri, il y a des vicarii à qui Aubri a délégué une partie de sa commendise. [...]
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