Religion, cités grecques, politique régionale, sanctuaire, innovations religieuse, dieu secourable, culte des personnifcations, cité athénienne, Panthéon, Nicomachos, sacrifice, Thesmophories, Dionysos, Amphictionie, sanctuaire de Délos, sanctuaires Panhelléniques, sanctuaire de l'isthme de Corinthe, philosophie, sophisme, déesse Eiréné, paix du Roi, Nakone Homonoia, Archinos, Amphiaraos, Critias, procès de Socrate, Socrate
Selon Hérodote, la religion était ce qui unifiait le monde grec. En effet, il y a une unité du monde grec. Mais si tous les Grecs reconnaissent les mêmes Dieux, ceux-ci sont choisis en fonction des cités. Le calendrier a donc évolué en fonction des cités. Quand on parle de religions, on parle beaucoup moins de croyances que de religions au sens strict. La cité athénienne avait son Panthéon, elle était réputée pour son très grand nombre de fêtes, et officialise un calendrier de ses fêtes.
[...] Les membres de l'Amphictionie étaient tous des athéniens. Des sanctuaires ont une portée plus large, les sanctuaires Panhelléniques (Delphes, Némée, Olympie). Le sanctuaire de Némée avait été incendié pendant la guerre du Péloponnèse. Argos en à donc profité pour rapatrier les concours néméens à Argos même. Le sanctuaire de L'isthme de Corinthe n'échappe pas à ses vicissitudes. En 390, Spartes intervient, occupe militairement l'Isthme le temps de célébrer et puis après de repartir. Ces lieux de culte ne sont pas déconnectés de leur époque, au contraire. [...]
[...] Est-ce que la religion va vers le statut civique, la réponse est non. Davantage de dieux, de divinités sous le cadre de la cité, suffisamment souple pour s'adapter aux évolutions civiques. Le procès de Socrate Fait divers Athénien : Exécution de Socrate, accusé par Mélétos. Socrate commet le crime de ne pas reconnaître les dieux et d'introduire de nouvelles divinités, ainsi que de corrompre les jeunes. Socrate à eu un rôle important dans son enseignement. Du coup, dans un contexte de crise religieuse, les autorités auraient voulu en faire un exemple. [...]
[...] Elles comprenaient au moins un acte public, un sacrifice ou autre, dans l'autel de la divinité en question. Nicomachos néglige certains sacrifices traditionnels, au détriment des nouvelles fêtes. Globalement une fête est centré autour d'un sacrifice et une procession à lieu. Tout le monde se couronne de feuillage sur la tête et on escorte l'animal que l'on va sacrifier. Le prêtre donne un ordre au sacrificateur. Le plus important est que le sang arrose l'autel. Puis on la dépecé et on la cuisine. [...]
[...] Le cœur religieux de la cité. C'est un grand succès et dans ces cités là, la méthode qui est utilisée est l'incubation. On veut dire un rite qui consiste à se coucher et à dormir. Dans ce grand portique, Dieu est censé apparaître en songe. Et des prêtres donnent le remède. Parfois le simple remède suffit à guérir. On sait de fait qu'il y à eu des guérisons. Autre exemple : Amphiaraos guérissant Archinos. Développement d'autres divinités secourables, mais aussi la bonne fortune. [...]
[...] - 3ème guerre sacrée. Pas une spécificité du siècle. Cela était déjà le cas sous Pisistrate. Tous les éléments qui montrent le déclin sont neutres, il y à toutefois de nouveaux cultes. Le culte des personnifications Naissance de la déesse démocratie. Apparaît également le culte de la déesse Eiréné : La paix, en 375, après la Seconde paix du Roi. Paix impérialiste On voit apparaître Nakone Homonoia, la déesse de la Concorde. Mais ils existaient déjà des personnifications (Némésis : Vengeance / Phémé : La rumeur). [...]
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