La réforme religieuse

Thèmes abordés

église, chrétienté, Moyen-âge, clergé, diocèse, dieu, couvents, monastères, dîme, sacrements, hérésie, sorcellerie, diable, réforme de l'Église, Religion, évangélisation, Nouveau Testament

Résumé du document

Les historiens admettent que le millénaire médiéval est le moyen-âge. Il y a plusieurs courants dans le christianisme du XVIe siècle. Tout d'abord, le christianisme opéré (le baptême de Clovis en atteste) et l'évangélisation de la France. L'évangélisation est un processus constant, pour se préparer au royaume de Dieu. Des assurances sont données pour l'ouverture sur le Nouveau Monde de Dieu après la mort.

Extraits

[...] Le collège des cardinaux est formé par le Pape (évêques). Ils rayonnent dans les villages et remettent en place des clercs. Le diocèse de Genève comporte habitants à cette époque, et 200 personnes demandent à devenir clercs. Pour le devenir, on reçoit la tonsure, pour établir ceux qui rentrent dans l'Eglise (ordres mineurs et majeurs) : C'est l'instruction religieuse. Certains y entrent dès 5 à 7 ans. Dans le diocèse, on ne compte alors pas moins de clercs. Nicole Lemaitre fait une étude du diocèse de Rodez (Aveyron). [...]

[...] La réforme religieuse Grand Schisme : Papes rivaux qui se combattent. Le christianisme de 1450 à 1520 et son état : Les historiens admettent que le millénaire médiéval est le moyen-âge. Plusieurs courants dans le christianisme au 16[e] siècle : Tout d'abord, le christianisme opéré (baptême de Clovis qui en atteste) et l'évangélisation de la France. L'évangélisation est un processus sans arrêt, pour se préparer au royaume de Dieu. Des assurances sont données pour l'ouverture sur le nouveau monde de Dieu (la mort). [...]

[...] Un juge leur pose des questions. La personne est rasée et torturée pendant les interrogatoires. On rentre parfois une aiguille dans le doigt, et si la personne la sent alors c'est bon, et on souhaite ensuite une confession. (Exemple : Marteau des sorcières, science des démons pour les juges qui recopient ce livre) A Paris, on jette les gens dans le fleuve pour voir s'ils sont sorciers : s'ils flottent ce sont des sorciers. On confond aussi les juifs avec des hérétiques et diaboliques. [...]

[...] Les princes ont des ecclésiastiques autour d'eux pour dire les messes dans les chapelles privées (clercs chapelins). Les clercs réguliers sont les disciples de Saint Benoit dans les monastères (moines) dirigés par un abbé (le premier à Mont Cassin en Italie). Des familles entières financent et entrent dans les monastères. Ils remplacent les stylites (prieurs qui se laissaient mourir sur une pierre en guise de prière à Dieu, interdits ensuite par le Pape). Des règles s'établissent en fonction des monastères (chartreux, bénédictins etc.) Ils s'établissent en montagne. [...]

[...] On a alors des saints dans chaque village (qui ne sont pas vraiment officiels). Le baptême représente l'effacement de la trace d'une désobéissance à Dieu (de Adam et Eve). Toutes ces pratiques sont individuelles, mais tout le monde appartient à une confrérie : Solidarité entre les croyants (frères de Jésus, du Saint-Esprit en Savoie). Les hérésies et la sorcellerie On est persuadé qu'existent des hérétiques (ceux qui ne sont pas religieux). Ils se cachent où se rendent à la Convention pour être jugés. [...]