Le pouvoir dans l’empire carolingien à son apogée

Thèmes abordés

empire carolingien, Pépin III, Pépin dit le Bref, Charlemagne, pacte de Verdun, dilatatio regni, Regnum Francorum, Aix-la-Chapelle, missi dominici, vassalité, Église

Résumé du document

Pépin dit le Bref se débarrasse du dernier roi Franc Mérovingien.
Son fils Charlemagne se fait couronner roi en Noël 800 par le Pape.
À la mort de son fils Louis le Pieux partage en 3 avec le pacte de Verdun.

Extraits

[...] Dans la Frise il y a la même politique de conversion forcée. Il soumet les Avars. Et conquit aussi la Bavière et la Thuringe. Les Avars avaient essayé de conquérir Constantinople, mais avaient reculé. b/l'Italie et l'Espagne : Charlemagne conquiert d'abord le royaume des Lombards. Il se fait proclamer en 772 roi des Francs et des Lombards. Il conquiert toute l'Italie jusqu'au sud de Naples donc en contact avec l'Italie Byzantine. Le pape lui donne le titre de patrice des Romains. [...]

[...] Le palais est fait avec quatre points cardinaux. Il a toutes les fonctions c'est-à-dire culturelle, politique, administrative . Ça permet l'exercice d'un culte impérial. Le palais est relié par une somptueuse galerie couverte jusqu'à la chapelle le long de la chapelle un atrium ou péristyle. Cette chapelle est un symbole de l'idéologie c'est un polygone à 16 côtés et un octogone avec une coupole. La coupole est décorée d'une mosaïque représentant le Christ en majesté. Quand Charlemagne est sur son trône, il voit l'autel sur lequel se déroule la cérémonie et les fidèles sont au rez-de-chaussée donc il les domine. [...]

[...] Trois ordres : ordres clerc chargé de la cure d'âmes moines hommes ou femme laïques prier pour le salut du monde ordre laïque profession pénitence sociale Conclusion : La rénovation impériale de Charlemagne obéit à une vraie vision du monde. Réussite indiscutable avec Renaissance carolingienne. Mais faiblesse, car repose sur des hommes d'exceptions nouvelles à l'époque donc fragile. Bibliographie : S. Lebecq, Les origines franques (Ve-IXe siècles), Paris 1990 (Points Seuil Histoire H201) G. Bührer-Thierry, L'Europe carolingienne (714-888), 2e éd., Paris 2010 (Cursus) A.-M Helvétius, J.-M. [...]

[...] Il se prend pour Justinien. c/la transmission des ordres : Charlemagne émet de nombreux édits divisés en chapitre ou capitula, on dit qu'il émet de nombreux capitulaires (56). L'écrit ne fait pas loi. Les capitulaires sont envoyés dans les comtés et sont lu à la population donc il n'est pas forcément en vigueur, car pas forcément lu, car il faut le lire pour que l'édit soit mis en vigueur, car c'est la parole du roi. Les actes royaux et impériaux sont lus aux sujets comme parole du roi et de l'empereur. [...]

[...] Le seigneur doit loyauté envers vassal, respect, protection militaire et judiciaire, l'entretenir pour rendre possible le devoir de service, mais pas de serment pour le seigneur. b/élément personnel, élément réel : Le seigneur doit nourrir le vassal ou il le chasse en lui donnant bénéfice c'est-à-dire la terre. C'est un lien entre deux personnes et ce n'est pas héréditaire à la mort il faut un nouveau serment. La matérialisation de la fidélité ou du fief commence à être héréditaire. Il y a une division à la succession. c/pouvoir royal et vassalité : Fides = fidélité entre des liens sociaux. [...]