Moyen âge, renaissance, thèses païennes, péché, cité de dieu
A Rome en 410 après JC, Saint Augustin dans un ouvrage qui s'intitule « la cité de dieu » va rédiger pour réfuter les thèses païennes. Il présente une opposition entre 2 sociétés : la cité terrestre et la cité de dieu. Il dit que dans la cité terrestre, les hommes vivent dans le péché.
[...] Chaque père de famille vient chercher tout ce qu'il a besoin et l'emporte sans pays. Ce qui rend avide et rapace c'est la terreur de manquer. Ce qui n'a pas été consommer utopie le commerce avec les autres iles voisines. L'export de ces produits permet à utopie de collecter une réserve d'or. Utopie est fondée sur la volonté de vivre selon la nature. Certaines éthiques, jeux de hasard interdit, polygamie, adultère, le mensonge sont condamnés moralement. En revanche le divorce par consentement mutuel est autorisé. [...]
[...] Il cultive la violence. C'est le coté obscur de l'homme. Opposé à la cité de dieu, une cité cosmopolite ou les hommes vivent dans la foi et l'humilité. Ce livre est considéré par certain comme le premier grand ouvrage de philosophie de l'histoire. Il installe une rupture avec la logique cyclique du temps. Avec le dogme du jugement dernier, s'impose une conception linéaire du temps. C'est l'idée que l'histoire à un sens précis, il a une marche de l'histoire qui impose son évolution. [...]
[...] Il ne distingue pas corps et âme (contrairement à Platon). Comme Aristote, il insiste sur le rôle de l'amitié. Il reconnaît l'intérêt d'une analyse rationnelle de la vie scolaire. La science ne peut pas s'affranchir de réflexion théologique. Elle reste sous tutelle de l'église. De son ouvrage, ● Valorisation du travail manuel. Dieu a fait don du pouvoir de créer au homme afin qu'ils puissent être supérieur aux animaux. ● La prohibition de taux d'intérêt. L'intérêt rémunère le temps alors que cette donné n'appartient qu'à dieu. Ralenti le capitalisme. [...]
[...] Pour lui, seule la foi sauve. Il ne faut pas acheter son salut auprès de l'église. Jean Calvin, son disciple ; vision encore plus dure que celle du protestantisme luthérien. Il pense que quoi qu'il fasse, les hommes sont prédestinés, le salut ou la domination sont écrit par avance. Il affirme que les hommes agissent bien : des actions économiques et sociales de l'homme, la religion qui a favorisé le développement du capitalisme (Webber a appuyé cette théorie). Si on ne peut acheter son salut et que économie = bien fondé alors contexte favorable à l'épargne (d'où vient le capitalisme). [...]
[...] Ils doivent combiner les qualités du renard et celle du lion. La société ne peut tenir que si elle est gouvernée par une puissance souveraine qui dépasse cette société. Le prince n'est pas forcement un seul homme. Cette puissance c'est l'état. Thomas Moré (1480-1525) L'anglais Thomas More publie un ouvrage moins réaliste que celui de Machiavel mais beaucoup plus fantaisiste « l'utopie » (1516). Il reprend l'idée d'une société utopique comme chez Platon avec sa république. Il décrit une ile heureuse, ou règne la démocratie. [...]
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