Empire byzantin, politique byzantine, commerce byzantin, christianisme, orthodoxie, hérésies chrétiennes, mont Athos, basileus, Justinien, Constantinople, iconoclaste, concile de Chalcédoine, Constantin, concile de Nicée, Sainte Sophie
Byzance est le nom d'une ville, Constantinople, qui deviendra Istanbul. Il s'agit de la capitale de l'Empire romain chrétien d'Orient qui a survécu à celui de Rome (476), jusqu'en 1453. L'Empire a donc duré mille ans. Il a exercé, durablement, une véritable fascination en Occident. Fascination parce qu'il incarne la durée, la puissance de Rome, sa civilisation qui a marqué les esprits autant à l'Est qu'à l'Ouest. On peut se poser la question de savoir si l'Empire byzantin n‘a pas exercé cette fascination parce qu'il répond à une aspiration très intemporelle : l'unité religieuse et politique. "Il n'y a qu'un seul dieu dans le ciel, il ne doit y avoir qu'un seul Empereur sur la terre".
À l'origine, l'Empereur renvoie à "la chance" ou la fortune. Cela peut se manifester par une victoire. S'il est victorieux, cela signifie qu'il est aidé par dieu. Il doit gagner l'appui du peuple, "vox populi", et il faut aussi qu'il soit accepté par l'armée. Le général vainqueur est monté sur un bouclier, il est élevé, il doit refuser modestement, il doit recevoir dans l'hippodrome, être acclamé pour ensuite être couronné par le patriarche (chef de l'Église). L'Empereur est appelé basileus, le roi des rois. On pense qu'il est aimé de dieu, il a la chance, la fortune.
[...] Voir vidéo youtube Au IX e on assiste à une augmentation du nombre de ces moines, ce qui correspond à la crise iconoclaste. Ils s'y installent pour échapper à la persécution. Chaque siècle a apporté un plus grand nombre de moines. Ils coupent les liens avec le monde. A l'écart dans ce mont. Soit ils se retirent en ermite ou ils se rassemblent sans hiérarchie. Les anachorètes. D'autres se rassemblent en communauté sous l'autorité d'un supérieur. Le cénobitisme Les empereurs ont favorisés le mont. Ils ont fait des dons de manuscrits et d'icones. [...]
[...] L'empire byzantin, seul survivant, y a perdu beaucoup de territoire La reconquête est possible grâce à une armée sophistiquée, composée de paysans soldats, et de troupes à la frontière de l'empire (limès) ainsi que d'une armée centrale (qui comprend aussi des barbares). La garde impériale est le noyau de la défense de l'empereur. Les généraux , comme Bélisaire, lèvent à ses frais des miliciens, mercenaires. Victorieux lors de 3 campagnes : en Afrique (de l'Egypte à la Tunisie). L'Egypte, le grenier à blé, était très important à récupérer. Au temps de Justinien, les deux capitales sont à nouveau dans l'empire Et extrême sud de l'Espagne sur les wisigoths. Politique active dans les Balkans et face aux Perse sur la frontière est. [...]
[...] Crée par Constantin, inaugurée en habitants : c'est une ville monde. A l'extrémité est de l'Europe, juste en face de l'Asie mineure. Carrefour de mers. Les 3 bâtiments clefs : le palais au centre (L'Empereur), l'hippodrome (pour les courses de chars, le peuple) et Sainte-Sophie (la religion) Le gouvernement impérial se préoccupe de l'ordre C'est l'Etat qui s'occupe du ravitaillement : l'anonne. Cela ne va pas durer longtemps. Quand l'empire perd l'Egypte, l'anonne va être abandonnée. La ville est la résidence de l'empereur, du patriarche ; c'est une ville qui a ses métiers, des confréries, une sociabilité civique et liturgique. [...]
[...] L'économie comprend aussi un artisanat très développé : soie qui vient de chine, métallurgie avec l'apport des barbares et la céramique .1100 boutiques ateliers Le commerce est favorisé aussi par la monnaie en or et argent. On peut vraiment parler d'un commerce méditerranéen avec des produits qui convergent vers Constantinople. Ce qui prouve que Constantinople ne produit pas elle-même. Le vénitiens ont obtenu de l'empire byzantin des concessions commerciales, ouvertures de ports, l'exemption de taxes, etc - 2 Constantinople / Byzance Constantinople : capitale, (reconstitution). Situation unique. [...]
[...] Très important, dés Constantin qui s'est converti au christianisme (avant polythéisme) en 313. Changement considérable. A son image, les populations vont se convertir. C'est un changement considérable également d'un point de vue politique : l'empereur est maintenant le représentant de Dieu Il se préoccupe du dogme du christianisme. Il se considère comme le responsable de l'orthodoxie (le dogme ne dévie pas). Une des hérésie les plus connue est ariennes. Arius soutenait que Jésus était un homme et non un dieu. [...]
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