Eglise, pouvoirs temporels, Xe et XI siècles, pouvoirs temporels des évêques, chrétiens, concessions royales
Depuis longtemps les églises sont des institutions riches depuis qu'elles ont été reconnues par l'Empire romain au 4e siècle comme des institutions dans les régions romanisées. Puis ailleurs, on a vu les institutions naître plus tard au moment de la fondation, par exemple à la fin du 8e siècle en Saxe, au moment de la fondation des églises, qu'elles soient séculières ou monastiques, sont doté de biens pour pouvoir fonctionner. Cette richesse se comporte de certains nombres d'éléments, d'abord il y a la fortune foncière.
[...] Ils jouent un rôle militaires, ils doivent entretenir des contingents militaires, fournir des chevaliers. Dans ce cas, on est bien face à une confusion, que les réformateurs grégoriens vont vouloir éliminer. Dans ce cas la, la charge épiscopal est conçu comme un bénéfice tenue du roi. [...]
[...] Il y a les droits lié au rempart, la garde et l'entretient et tous ceux qui est lié au rempart. C'est-à-dire imposer un service de biens, aux milites, aux guerriers libre et imposer aux populations des travaux d'entretient de ces remparts. Les évêques peuvent être chargés localement d'exercer ces charges par le roi. Droit de frappe de monnaie dont dispose plusieurs évêques, les évêques d'Autun, Liège, Reims, Trêves, et frapper la monnaie marque une autorité. Ils vont battre des monnaies, mais c'est aussi un dégagement de bénéfice, puisque que la valeur numéraire représente plus que le coût du métal précieux et le coût du travail pour les fabriquer. [...]
[...] Donc, il y a beaucoup d'affaire d'héritage qui passe devant les tribunaux épiscopaux parce que les distinctions entre enfants légitime et enfants illégitime dépendent de la sanction de l'évêque. Autre grande catégories de cause relevant de l'épiscopat, tous ce qui pose sur les serments. C'est-à-dire les contestations de serments, ou accusation de parjure relèvent de la compétence épiscopale. Hors, les serments sont très utilisé en justice comme preuve ou dans les relations vassalique comme contraction d'un lien personnel entre les partis, et donc des dénonciations de faux serment peut avoir des conséquences très importante. [...]
[...] Les évêques continuent à avoir un rapport direct avec le roi. A la différence des grands titulaires de grandes charges régionale, duc de Normandie, duc d'Aquitaine, on sous leur ordre des comtes qui relèvent de leur responsabilité et non plus du roi et il joue un rôle de gouvernement régional quasi souverain avec le conseil des évêques. Il n'y a pas de contrôle étroit des princes sur les évêques. Ce rôle traditionnelle de gouvernement, il s'observe dans les grandes manifestations politique qui sont le plaide et sacre. [...]
[...] le plaid et le sacre Les évêques sont les conseiller habituelle des princes depuis le très haut moyen âge. A partir de la dispersion du monde carolingiens en 888, les évêques vont continuer à jouer ce rôle soit auprès des rois des différents royaumes : Bourgogne, Provence, Francie, Germanie, Italie, mais également au prés des grands princes régionaux. Les évêques vont jouer le rôle de conseiller privilégie, une différence néanmoins dans le royaume de Germanie, le roi confère quelques grands duchés, le royaume est divisé en 4 ou 5 duchés, qui sont des régions de commandement militaire. [...]
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