Économie dans L'Empire byzantin, monde rural, commerce, agriculture, Constantinople, siècles obscurs
Surtout basée sur l'agriculture très variée, vient ensuite le commerce, à l'échelle locale, impériale, voire même internationale. Chacune de ces activités était évidemment pourvoyeuse d'impôts et de taxes en faveur de l'administration centrale. Les acteurs de ces différents secteurs économiques, byzantins ou étrangers dont nous étudierons la cellule de base, la famille contribuèrent au dynamisme de l'Empire pendant toute la durée de son existence malgré un repli à l'époque qualifiée de « siècles obscurs » (fin du 6e jusqu'au 8e).
[...] Dans les milieux plus aisés, on se debarassait plutot des fillettes en les confiant à des monastères et en les destinant à devenir des moniales. Par ce moyen, les familles obtenaient un double profit, un profit materiel en faisant en sorte que l'héritage soit reserv au garçon car chacun des enfants avaient droit à la même part d'héritage (fille, cadet, benjamin), un profit spirituel aussi car la jeune fille pouvait ensuite prier pour leur salut.Pendant cette période de la toute petite enfance, la mère so'ccupait d'elever des enfants.Les garçons pouvaient recevoir l'education d'un maître.les familles ont en moyenne 5 membres, deux parents et trois enfants susceptibles d'atteindre l'âge adulte. [...]
[...] Fiançailles/Mariage Grande importance dans la société, unir les familles entre elles, assurer la perpetuation de la famille et transmettre le patrimoine.l'état byzantin à la suite de l'état romain favorise le mariage pr des raisons pratiques car il a besoin d'hommes, de paysans, de travailleurs de contribuables et de soldats pr survivre.Cependant, en raison de la christianisation de l'empire chacun a le droit de choisir entre une vie de celibat dans un cadre religieux et le mariage.Malgrè ce postulat, certains empereurs manifestèrent une certaine hostilité evers les moines et leur mode de vie. Les empreurs iconoclastes leur en voulaient. [...]
[...] Il sert à mesurer les terres. Après Constantinople, plusieurs grandes cités beneficièrent du dynamisme du commerce de l'Empire comme Thessalonique au Nord de la Grèce dont le situation geographique était favorable puisqu'elle se trouvait sur la trajet de la voie romaine appelée Via Egnatia qui reliait l'orient à l'occident.Il s'agit donc de la seconde ville de l'empire, elle comptait de nombreux artisans et une celèbre foire, celle de Saint Demetrios qui était le Saint Protecteur de la ville.D'autres foires prestigieuses ont lieu en asie mineure comme à Ephèse malgrè les perturbations causées par les raids arabes mais cette région connait un renouveau grâce aux reconquêtes de Nycephore Phokas et de Jean Tzimiskès au 11ème/12ème, cette région est à nouveau securisé et la rend propice aux affaires.A la suite de ces conquêtes, de nouveaux pôles économiques entrent dans le giron de l'empire comme la conquête d'Antioche, de Melithène (vers edesse) ainsi que Enzeroum ou Theodosioupolis.Cela relance le commerce de la mer Noire et de la ville côtière de Trebizonde.Le trafic international porte sur le coton, l'huile, les metaux, les produits de luxe.Comme l'agriculture, le commerce evolue en fonction de la situation politique et économique de l'empire, il connait un sérieux ralentissement au 8ème et 9ème en raison de plusieurs facteurs.d'une part les raids lancés par les arabes sur les ports de l'mepire entrave le commerce et d'autre part la chute de la population à la suite des epidemies ainsi que le declin des villes entraine une forte baisse de la demande.Après 620 et la fin du ravitaillement en blé egyptien, les ressources venues de Thrace et de Bythinie suffisaient à nourrir Constantinople.L'empire recevait des marchandises provenant le plus loin d'extrême orient avec l'arrivée sur ces marchés d'épices, de soie et de bijoux qui venaient de Chine, de Perse et d'Indes par l'intermediaire des marchands Arabes, un traité fut conclu avec Alep en 970, au 12ème siècle, les turcs devinrent également des partenaires commerciaux de l'empire Byzantin.Le commerce de l'Empire avec les russes et les Bulgares se developpa egalement mais plutot en mer Noire, les empereurs conclurent des traités avec les souverains de ces deux puissances.Ces traités nétaient qu'alors qu'à leur premice et si les puissances voisines en obtintent cene fut qu'à certaines conditions qui peuvent sembler tout d'abord assez restrictive.Par exemple, les marchands devaient d'abord demander une autorisation avant de commercer avec un territoire ou une cité de l'empire.Ces marchands n'avaient pas le droit de résider à l'intérieur même de la ville en question, ils devaient donc être toujours hebergés hors des murs.Lorsqu'ils commercaient avec Constantinople, ils ne pouvaient entrer dans la ville que par petits groupes et desarmés et ce pour des raisons de sécurité évidente.A partir du 10ème sièce, on assiste à une reprise du commerce mediterranéen qui s'était essouflée pendant la crise et au moment de cette reprise on va constater le rôle accru de nouveaux acteurs qui vont prendre plus de places, les republiques maritimes italiennes à savoir Venise, Gênes et Pise.Les deux cités Italiennes qui ont commercé de manière plus ancienne sont Amalphie et Pise puisqu'ils ont commencé à commercer vers le 10me.C'est durant le 11ème que les Venitiens et les genois s'établissent dans la capitale de l'Empire.Les marchands des villes Italiennes obtinrent des privilèges de la part du pouvoir impérial sans aucune mesure avec ceux qu'octroyaient aux marchands russes et bulgares.Ils obtinrent de s'installer dans un quartier spécifique de Constantinople où ils érigent leurs églises, leur embarcadères et leurs entrepots.On appelle ces installations des Colonies.EN 1082, le Chrysobulle (Document Diplomatique qui au lieu d'être scellé avec de la cire est scellé avec de l'or) d'Alexis Ier Comnène octroie aux Venitiens des privilèges supplementaires.L'empereur est dans une ériode délicate car les Normands se sont installés en Sicile et attaquent les côtes Byzantines.Les venitiens obtiennent l'exoneration du Kommerkion, la taxe sur le commerce.C'est aussi à cette occasion que les Venitiens obtiennene tle droit de fonder des colonies.A la fois composé de nobles, de gens du peuple, d'hommes d'affaires, de boutiquiers et d'artisans à Constantinople.Outre ces mesures, les venitiens obtinrent le droit de se deplacer, d'achter et de vendre dans tout l'empire sans être contrôlés et sans payer de taxes douanières.Les raisons de ces immenses concessions sont loin d'être purement économiques et commerciles pr l'adiministration Byzantine, en réalité, elle venait récompenser l'offre de soutien militaire de la République de Venise pr combattre les Normands de Sicile qui envahissaient l'empire.Le Doge de Venise s'était engagé à faire intervenir sa flotte pour la défense de l'empire.Afin de contrebalancer la suprematie commerciale venitienne dans l'empire, des privilèges furent également octroyés aux genois et aux pisans même s'ils ne revetaient pas la même ampleur ni la même importance que ceux accordaient aux venitiens.Ils contribuèrent à exporter les productions agricoles byzantines mais aussi ses produits de luxe, la collaboration entre l'empire et les cités italiennes semblent avoir été fructueuse pour la deux partenaires et avoir contribué à son essor économique et au dynamisme commercial de la Mediterranée.Ce fut le cas jusqu'en 1204, date de la prise de Constantinople par les Croisés.Malgrè leur situation desavantageuse par rapport aux italiens et même par rapport aux autres commerçants occidentaux (Provençaux, catalans, Montpellierains) qui même si n'étaient pas exemptés du Kommerkion le payaient à un taux réduit.Les marchands byzantins profitèrent du developpement et de l'arrivée massive de diivers produits du à ces mesures.Les marchands byzantins payaient quant à eux la totalité du Kommerkion, càd une taxe de 10% sur les achats comme sur les ventes.Cette situation a contribu& à créer une animosité contre les marchands italiens et certains empereurs s'en sont emparer.En 1171, Manuel Comnène fit confisquer les biens des venitiens dans tt l'empire car les venitiens avaient lancé une attauqe contre leurs concurrents genois ds l'empire.En 1182, une émeute à constantinople aboutit au massacre de tous les latins de la ville.On voit le rôle des venitiens ds le detournement de la 4ème croisade PR LA PRISE DE zARRA; III/ Les étapes de la vie L'enfance et l'adolescence A l'époque medievale, les enfants sont le but des unions matrimoniales, ce qui est conforme aux lois de la bible et de l'église.Avoir des enfants étaient la marque d'une benediction divine et les femmes craignaient d'être stériles.On a des exemples dans la litterature Byzantine comme la vie d'Etienne le Jeune, on a le récit de la mère de ce saint qui prie ardement la vierge de Blacherme, en lui 3promettant de lui donner un fils.L'accouchement était un moment délicat, c'était un moment de dévotion religieuse, un priait pr le saint protecteur, on voyait la resurgence de rites antiques païens, on recitait des rites de protections magiques avec des amulettes qui rpresentaient différents signes pr écarter le mal comme la Méduse ou le cavalier qui terrasse un démon feminin.On placait aussi des clochettes à côté des enfants pr éloigner les démons; On marque l'enfant du signe de la croix pr lui donner un nom, on considère qu'à 8 jours l'enfant a atteint un premier stade.Quant à la mère, elle doit attendre 42 jours après l'accouchement pr se rendre à l'église afin d'y recevoir un rituel du purification.Ce rituel est hérité du judaïsme.Le jour de la prufication de sa mère, le nouveau né recevait parfois le baptême dans ses bras mais le plus souvent, on attendant le samedi saint pr baptiser les enfants dans le petit baptistaire de l'église sainte sophie de Constantinople sauf en cas de maladie où on effectuait le baptême plus tot pr proteger l'ame de l'enfant.Il arrivait aussi que des enfants ne soient pas desirés dans les milieux pauvres comme aisés, il existait des potions pr avorter mais cette pratique était condamné par le droit civil comme par le droit canon.Chez les pauvres, la pratique de l'abandon des enfants était assez fréquente et l'église en particulier à Constantinople du crée un certain nombres de pouponnières;Différentes institutions suivant l'échelle (village/Villes).Malgrè l'interdiction par les lois de Justinien, la vente d'enfant esclave était aussi pratiquée à titre d'exemple, on sait que des paysans de Cappadoce vendaient parfois leurs fillettes à des proxenetes de Constantinople. 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[...] Dans les vallées de Thrace, on produisait de l'orge et du raisin, en sicile et dans le Peloponèse, à côté des cultures traditionelles, on trouvait aussi de l'élevage de ver à soie. Dans certaines zones plus arides comme la Cappadoce, on pratiquait plutôt l'élevage. [...]
[...] Ces empereurs iconoclastes avaient permis à l'empire de renouer avec les succès militaires et ils avaient une perception de la situation orientée en direction de la chose militaire.Selon Nycephore, Constantin V aurait accusé le moine Etienne le Jeune de convaincre trop de fidèles de rejoindre la vie monastique et il l'aurait jeté en prison.La plupart du temps precedent le mariage, et c'est presque aussi voire plus important qu la mariage ds l'empire byzantin. Legalement, les fiançailles peuvent être decidées par les parents dès que leurs enfant atteignent l'âge de 7 ans car elles font l'objet d'un contrat signé devant notaire entre les deux parties, prevoyeant la dot apportée par l'épouse (argent, bijoux, vêtements, meubles, domaines, betails etc . [...]
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