Au IIème siècle, les Gaules sont divisées en quatre provinces qui ont été partagées en -27 avec le principat et l'empereur Auguste. Elles ont été partagées entre le Sénat et l'empereur : le Sénat a la provincia avec comme capitale Narbonne et à sa tête, un proconsul.
Le reste correspond à la Gaule chevelue et est réservé à l'empereur autrement dit, la Belgique (sa capitale est Reims), la Lyonnaise (la capitale est Lyon), et l'Aquitaine (la capitale étant Sainte, puis Bordeaux). Elles sont dirigées par un pro-prêteur nommé par l'empereur. C'est un légat (...)
[...] Il veut mettre à l'écart les lapsis et les libellatici ce qui correspond à un schisme. La lettre montre que la Gaule a encore été confrontée à la persécution jusqu'à la province d'Arles. De plus, il y a eu plusieurs évêques en Gaule vers 250 : un à Toulouse, à Vienne, à Paris, à Arles, à Reims et à Trêves. Conclusion Le christianisme progresse rapidement en Gaule surtout aux IIème et IIIème siècles. Les premiers témoignages datent de 177 à Lyon. [...]
[...] 2*La lutte cintre la gnose La gnose est un terme grec qui signifie la connaissance, le savoir. C'est aussi le nom d'un mouvement religieux né en Palestine au premier siècle, et qui se répand ensuite dans tout le Proche Orient. Rapidement, il concerne aussi le christianisme. La querelle débute au IIème siècle. L'objet du mouvement concerne le fait que la foi est assimilée à la science, c'est la connaissance absolue de Dieu. La conséquence de ce mouvement est que seule une petite partie de lettrés peut connaître ce savoir et accéder au salut. [...]
[...] Il a essayé d'œuvrer pour l'unité de l'Eglise et des chrétiens. Ce sera le cas lors de la querelle des quatuordecimans. C'est une question interne à l'Eglise concernant le jour de la célébration du jour de Pâques. Il y a alors des divergences : pour les chrétiens d'Orient, Pâques doit être célébré le quatorzième jour de la lune (Pâques juive), alors que pour les chrétiens de Rome, cela doit toujours être un dimanche (le plus proche de la Pâques juive). [...]
[...] Le point central est que Dieu est le créateur. L'unité de l'Eglise se fait autour de la prédication de l'évêque et la transmission apostolique. Ensuite, les évêques des Gaules s'attacheront à cette unité. -selon lui, puisque l'homme ne peut avoir son salut que grâce à la prédication des évêques, il doit faire preuve d'humilité envers l'Eglise et Dieu d'où sa défense ses pauvres. Au IVème siècle, un bon évêque doit être marqué par l'humilité et la pauvreté. Irénée était un précurseur. [...]
[...] Des écoles sont crées au nord de l'Italie et au sud des Gaules. C'est ainsi qu'Irénée est mis au courant. Dans son livre Contre les hérésies il réfute le mouvement par la raison : -unité du plan divin et de Dieu vue à travers la création et la rédemption. Tout ce que l'homme constate ne peut être l'œuvre d'une même personne. Dieu est à l'origine de la matière car le démiurge est mortel, c'est une part de matière. Or, il ne peut venir que de Dieu. [...]
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