Droit de syndiquer, droit de grève, solidarité, socialiste, bourgeoisie
Jean Jaurès a été un de ces députés. En France on a l'émerge de la classe ouvrière. Les idées républicaines vont se diffuser comme le met en avant Karl Marx. Le texte est un trac radicale, il appel à une grève générale. Il s'agit d'un document d'archive. C'est une toute petite ville du Tarn, minière. Les mineurs ont été au début de l'exploitation des paysans mineurs, ils avaient une double activité. Ce qui était la norme depuis les origines de l'exploitation à Carmaux est en train de s'éroder pour les nouvelles générations qui sont de plus en plus des mineurs à plein temps, cela éclaire le fait qu'il y est des revendications de la classe ouvrière. Ces mineurs on basculer dans un modèle ouvrier celui des grandes villes minières comme Saint Etienne, Lens…
[...] C'est la bourgeoisie qu'il faut détruire du fait qu'elle détient pouvoir politique et économique. Plan : Les moyens de la lutte ouvrière 1. L'organisation syndicale 2. L'action collective (appel à chômer pour le Ier mai) II- Quels objectifs ce donne cette lutte ouvrière 1. Les 8 heures 2. Mieux répartir le travail (revendication à court terme avec objectifs à plus long terme autour de la fin de l'exploitation ouvrière) III- Le discours politique des ouvriers de Carmaux 1. L'attachement à la République 2. [...]
[...] La bourgeoisie est mise au même niveau que les aristocrates que l'ancien régime, même pire car ils ont fait 1789 en se servant de la population et en, n'en tirant parti Des acquis républicains La classe des ouvriers ne remet pas en cause la République. A la ligne 2 ils sont fiers d'être que des simples travailleurs car c'est grâce à eux que la bourgeoisie a pu se faire. C'est sous les République que les premiers droits des travailleurs sont mis en place. Ils sont réticents à tout ce qui entrave les libertés, autant individuelles qu'universelles. Le régime leur permet de s'exprimer. [...]
[...] En haut du trac on trouve le slogan de la République. Correction L'origine du Ier mai est américaine, une association nommée les chevaliers du travail célèbre pour la première fois la journée du travail en 1886 dans le but de réclamer les 8h. Ce n'est pas une fête chômée. Dans certains cas cela peut mal finir car ce n'est pas un droit de manifester le premier mai. La spécificité de la demande tel qu'elle est exprimée dans le premier paragraphe : avant 1891 à Carmaux les travailleurs ne sont payer qu'une fois qu'ils sont dans la mine, et donc tout le temps de préparation, le déplacement, descendre dans la cage ne sont pas payer cela peut faire jusqu'à 3h par jours non payer. [...]
[...] Le premier syndicat de Carmaux date de 1883 à 1888. Cercle trop socialiste pour les dirigeants de la mine et ils créer un syndicat. Le nombre de syndiqué va beaucoup augmenter de 1883 à 1892, l'âge devient de plus en plus bas. Il a un engouement pour le syndicalisme. La grève devrait avoir loi le 1 mai 1891, c'est le jour de la fête du travail. Le but est de faire réduire la journée de travail à 8h. Le 1 mai s'inscrit comme journée de la lutte dans le mouvement ouvrier Des revendications salariales et sociales La vie des mineurs est difficile. [...]
[...] Les mineurs de Carmaux Jean Jaurès a été un de ces députés. En France on a l'émerge de la classe ouvrière. Les idées républicaines vont se diffuser comme le met en avant Karl Marx. Le texte est un trac radicale, il appel à une grève générale. Il s'agit d'un document d'archive. C'est une toute petite ville du Tarn, minière. Les mineurs ont été au début de l'exploitation des paysans mineurs, ils avaient une double activité. Ce qui était la norme depuis les origines de l'exploitation à Carmaux est en train de s'éroder pour les nouvelles générations qui sont de plus en plus des mineurs à plein temps, cela éclaire le fait qu'il y est des revendications de la classe ouvrière. [...]
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