autonomie, faisceau, liberté des peuples, ennemi russe, Moravie
On est en bohême, une zone ou différent type de population vive 60% de slave et 40% d'Allemagne. Dirigé par une certaine élite allemande ; Parmi les slave on trouve des tchèques dont fait partie l'auteur. Nous donne avec ce texte en 1848. Les grands postes de l'administration sont occupés par les allemands. Palacky est né dans une famille protestante, et il parle plus de 11 langues. En 1813 se rends compte qu'il ne connait plus réellement sa langue maternelle et va chercher les sources de son peuple. En 1836 il écrit une histoire du peuple tchèque en bohême et Moravie et montre que cette histoire est liée au germanique. Dans la dernière partie de sa vie il sera un homme politique.
[...] Ici Palacky se fait le défenseur du peuple slave et est appelé par le parlement de francfort. C'est ce document qui va faire naitre le courant qu'est l'austro slavisme. On est à un moment ou la naissance des nationalités est en pleine essor, on se situe dans le printemps des peuples. Parlement de francfort charger de mettre en place la confédération germanique. En 1848 on se situe à un moment où se diffuse le printemps des peuples. C'est une révolution dans les différentes capitales européennes. [...]
[...] Le refus de Palacky Le déssin de ne pas céder à l'ingérence Il met en avant le fait qu'il soit slave. Il ne sent pas du tout allemand et il manifeste que cela en disant que les slaves non rien de commun avec l'Allemagne. Il refuse de prendre part à se parlement car il n'est pas allemand et ne peut pas travailler pour l'intérêt allemand. Tout ce qu'il fait dans sa vie il le fait pour sa nation et ne peut pas la trahir au profit d'une autre. [...]
[...] Pour lui le contrôle qui soit être le plus important est sur la zone du Danube, là où peut surgir le l'ennemi La peur du panslavisme Il est slave mais rejette le panslavisme qui fut créer au 15e siècle, il y voit un pouvoir autocratique, un pouvoir personnel dont disposerait le tsar ce qui pourrait contredire les idéaux slaves, car ces derniers sont dans un courant de pensée plus libéral menace la liberté du monde l.13. Cette peur du panslavisme ne peut être affrontée que par l'entraide des différents peuples Le désir d'entre aide Il voudrait en quelque sorte former une union avec l'Autriche, il parle de faisceau L'idée de travailler ensemble pour lutter contre l'ennemi russe. Pour lui l'Autriche pourrait représenter l'intérêt de tous les peuples. Palacky prend le rôle de porte-parole du peuple, qu'il défend ainsi que la liberté des peuples. C'est le moteur de la révolution et le mentor de l'état tchèque. [...]
[...] Palacky revendique la légitimité de la place des tchèques comme les autres minorités dans l'empire Autriche si celle-ci lui fait une place suffisante pour accepter les droits de ces minorités. Il voit l'empire d'Autriche comme une fédération de peuple, une cohabitation de peuple d'origine différente dans un espace politique. Cet empire d'Autriche rénover ferait preuve de clémence auprès des minorités (droit des peuples) et il ferait bloc au centre de l'Europe contre les ambitions venu de l'est. Il est important de soutenir l'Autriche du fait de la peur de voir arriver le pangermanisme. C'est une idée originale car elle ne défend pas l'autonomie et la création d'un état tchèque. [...]
[...] Nous donne avec ce texte en 1848. Les grands postes de l'administration sont occupés par les allemands. Palacky est né dans une famille protestante, et il parle plus de 11 langues. En 1813 se rends compte qu'il ne connait plus réellement sa langue maternelle et va chercher les sources de son peuple. En 1836 il écrit une histoire du peuple tchèque en bohême et Moravie et montre que cette histoire est liée au germanique. Dans la dernière partie de sa vie il sera un homme politique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture