En 1814, les Français ne sont pas les maîtres, puisque les armées étrangères occupent le pays. Et que les souverains européens se sont ralliés à la restauration des Bourbons.
Louis XVIII en exil depuis 1791, peut donc imposer ses choix : il refuse la constitution « sénatoriale ».
Dès 1814, le problème de la souveraineté posée.
Louis XVI « croit » en sa propre initiative, et ce qui entérine une bonne partie des acquis de la révolution.
[...] La révolution a donc provoqué l'apparition d'une société où règne l'égalité des droits et où, en fait, les classes moyennes sont prépondérantes. Ainsi, pour terminer la révolution, est-il indispensable d'accepter les qualités il, et l'ensemble de la société à laquelle la révolution a donné naissance. Ce qui montre le fossé qui les sépare des ultras. Ils veulent séparer la cause de la royauté de celle de l'ancien régime et la cause de la liberté politique de celle des théories et des passions révolutionnaires. Ils entendent reconstruire une société possèdent ses propres freins. [...]
[...] Le gouvernement a mené une politique donnant satisfaction à sa majorité. Donc une politique ultra qui ne correspond nullement aux souhaits des classes moyennes, qui sont en tête du mouvement social, et à ceux de la genèse des écoles (les étudiants, futurs cadres de la nation) septembre 1824 : mort de Louis XVIII. Les débuts du règne de Charles X (1824-1827) : Charles X : véritable espoir des ultras. Il tient aux symboles traditionnels, ce qui se révèle dangereux. Une tentative de retour à une société qui ignorait des principes de 1789. [...]
[...] Suppression de la censure. Vote d'une loi qui abolit l'autorisation préalable et le procès de tendance. Les ultras crient à la trahison de la cause de la monarchie : Charles X songe à des initiatives autoritaires et donc violentes pour établir la prépondérance du monarque sur les chambres. 1829:1 projet de réforme de l'administration des communes et celle de département prévoyant des élections. Hostilité de la droite de la gauche ce qui amène roi de demander son retrait. Août 1829 : vote du budget et fin de la session parlementaire. [...]
[...] La vie politique sous la restauration. En 1814, les Français ne sont pas les maîtres, puisque les armées étrangères occupent le pays. Et que les souverains européens se sont ralliés à la restauration des Bourbons. Louis XVIII en exil depuis 1791, peut donc imposer ses choix : il refuse la constitution sénatoriale Dès 1814, le problème de la souveraineté posée. Louis XVI croit en sa propre initiative, et ce qui entérine une bonne partie des acquis de la révolution. Charte : -promulguée le 4 juin 1814 (après la signature du traité de Paris, le 30 mai, qui ramène la France à ses frontières de 1792). [...]
[...] Il souhaite favoriser la création d'une aristocratie rurale à l'anglaise. Être mis en cause du Code civil napoléonien et refusé par la chambre des pairs : le gouvernement est contraint de retirer un projet de loi limitant la liberté de la presse. La crise de 1827 et la chute de vilaines : 1827 : rétablissement de la censure. Villèle elle obtient de Charles X une fournée de 73 pairs qui lui permettent de retrouver une majorité à la chambre haute. [...]
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