Transformations sociales, pays industrialisés, consommation de masse, contestations sociales, évolution démographique
Le poids démographique des pays industrialisés ne cesse de baisser entre 1940 et 1980 : représentant le quart de la population mondiale à la veille de la guerre, elle de représente en 1980 plus que 15 % de la population. Malgré cette baisse relative, la population subit une augmentation de 50 %. De plus, les sociétés, bien que disparates, restent riches : un revenu annuel moyen supérieur à 9000 $, une surabondance alimentaire, un environnement médical perfectionné, un allongement de la vie et un taux d'alphabétisation approchant les 100 %.
Malgré la forte augmentation de la natalité lors du baby-boom, la natalité baisse dès les années 1960, entrainant un taux de croissance démographique de seulement 0,7 % et un vieillissement des populations. Dans certains pays comme l'Allemagne, il y a même une baisse des populations (tempérée par l'arrivée d'immigrés).
[...] Les transformations sociales dans les pays industrialisés Une évolution démographique alarmante Le poids démographique des pays industrialisés ne cesse de baisser entre 1940 et 1980 : représentant le quart de la population mondiale à la veille de la guerre, elle de représente en 1980 plus que de la population. Malgré cette baisse relative, la population subit une augmentation de De plus, les sociétés, bien que disparates, restent riches : un revenu annuel moyen supérieur à 9000 une surabondance alimentaire, un environnement médical perfectionné, un allongement de la vie et un taux d'alphabétisation approchant les Malgré la forte augmentation de la natalité lors du baby-boom, la natalité baisse dès les années 1960, entrainant un taux de croissance démographique de seulement et un vieillissement des populations. [...]
[...] Cependant, le syndicalisme n'est pas le seul à contester l'ordre social : les années 60 voient réapparaitre un terrorisme européen en Irlande, en Espagne, en Italie (les Brigades Rouges) et en RFA. Tout cela est du au rejet des contraintes héritées du taylorisme : on observe ainsi une augmentation de l'absentéisme et une accélération du turn-over (rythme de remplacement des emplois peu qualifiés et pénibles). Les entreprises instaurent en même temps le temps partiel. Finalement, les quelques mouvements de remise en questions de la société vont rester très marginaux : les hippies restent très marginaux par exemple. [...]
[...] De plus, la modernisation a entraîné un endettement des paysans et une destruction du système de pensée : les mass media ont détruit les coutumes. Finalement, la disparition des pénuries a contribué à la perte de l'importance sociale du paysan. Le monde ouvrier a aussi considérablement changé : la croissance a fait augmenter le nombre d'ouvrier et la production de masse a été obtenue par le travail à la chaîne. De plus, le travail manuel restant discrédité, les ouvriers sont maintenus en bas de l'échelle sociale. [...]
[...] On assiste à la mise en place d'une société duale : les employés des grandes entreprises et les fonctionnaires, bénéficiant d'un travail assuré et d'une couverture sociale et les employés des petites entreprises sous traitantes (surtout au Japon et en Italie) qui n'assurent aucune protection de l'emploi ou de protection sociale. Dans tous les pays de la population possède 50% des richesses. Les revendications ouvrières se canalisent dans de grands syndicats plus ou moins puissant en fonction du taux variable de syndicalisation en France contre 80% en Suède) : il s'agit d'améliorer les conditions de travail et des rémunérations. [...]
[...] Il garde le pouvoir économique et politique et montre sa position sociale par de grandes propriétés, et de grandes dépenses. La consommation de masse La consommation, ressentie dès la fin de la guerre comme un besoin, a amélioré le niveau de vie. Ainsi, une fois la reconstruction terminée, l'American Way of Life s'impose comme modèle de consommation. La publicité, les grandes surfaces, la vente par correspondance ont aussi fait naitre de nouvelles pratiques. Les dépenses familiales ont été totalement redistribuées : l'alimentaire coûte moins cher, tout en étant plus varié, le vestimentaire est moins cher et de meilleure qualité. [...]
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