socialisme, congés payés, ouvriers, syndicats, transformations sociales
Globalement le niveau des salariés s'améliore. L'augmentation des salaires permet aux ouvriers d'accéder aux loisirs, de mieux se soigner et de s'alimenter.
Sous la pression des syndicats, une législation sociale est votée pour réduire la durée du travail et pour créer des systèmes d'assurances couvrant la maladie, l'invalidité, la vieillesse, les cours d'alphabétisation se développent.
Ainsi dans les années 1920 les heures de travail sont limitées à 8 heures sur 6 jours et en 1936 la loi accorde 2 semaines de congés payés.
Le paternalisme se répand.
[...] Ces idées sont répandues en France au sain du clergé et de l'armée et ont inspirées le régime de Vichy. Parallèlement des patrons chrétiens et philanthropes veulent améliorer les conditions de vies et de travail de leurs ouvriers dans le cadre de l'entreprise. Ce paternalisme est mêler de motivation morales et de désirs de fortifier l'autorité patronale fasse aux revendications ouvrières des syndicats et au développement du socialisme. Les socialismes : le refus du capitalisme libéral En 1948 Karl Marx et Engels ont jeté les bases de la doctrine socialiste dans le livre le manifeste du parti communiste. [...]
[...] Les anarchistes préfèrent l'activité économique et sociale par les syndicats. En réalité les courants socialistes sont divers, si certains prônent la révolution (en Russie en 1917 avec la prise de pouvoir de Lénine avec les Bolcheviks), d'autres au contraire entendent réformer la société industrielle en influençant les pouvoirs publics pour changer les lois. Progressivement les socialistes s'organisent en partis politiques : SPD en Allemagne et la Section Française de l'Internationale Ouvrière dont l'un des fondateurs est Jean Jaurès en 1905 et le Labour Party en Angleterre en 1906. [...]
[...] Les transformations sociales et idéologiques de l'âge industriel de 1880- 1890 A partir des années 1880-1890 Globalement le niveau des salariés s'améliore. L'augmentation des salaires permet aux ouvriers d'accéder aux loisirs, de mieux se soigner et de s'alimenter. Sous la pression des syndicats une législation sociale est votée pour réduire la durée du travail et pour créer des systèmes d'assurances couvrant la maladie, l'invalidité, la vieillesse, les cours d'alphabétisation se développent. Ainsi dans les années 1920 les heures de travail sont limitées à 8 heures sur 6 jours et en 1936 la loi accorde 2 semaines de congés payés (cf. [...]
[...] Les idées du libéralisme sont : -l'importance du capital, les bénéfices de l'entreprise sont le moteur de l'économie. -la liberté d'entreprendre malgré les risques de surproduction et de chômage. -la liberté du travail impliquant le refus de toute intervention de l'état, notamment sur la réglementation du travail. Le libéralisme naît en Angleterre à la fin du 18ième siècle. Adam Smith qui observe les débuts de la révolution industrielle pense que La pensée libérale valorise les individus libres de travailler, de posséder, d'entreprendre, d'acheter ou de vendre leurs biens Chacun y voit son intérêt personnel. [...]
[...] Le traditionalisme, le rejet des temps nouveaux Dans l'ensemble les patrons partagent les idées du libéralisme et se montrent hostiles à la législation du travail votée dans les années 1880. Toutefois les patrons se méfient des conséquences sociales du libéralisme qui accentuent les antagonismes les différences) et font le jeu des socialistes. Le courant traditionaliste hérédité de la pensée contre les révolutionnaires rejettent les héritages de la révolution française et reste attaché à la conception traditionnelle de l'autorité selon laquelle les subordonnés les sujets) doivent obéissance à leurs supérieurs qui en échangent se soucis de leurs protections (ordre traditionnel voulu par Dieu). [...]
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