Temps des révolutions, monarchie française dans l'impasse, 1789-1799, Révolution française, 1789, Versailles, Paris, France
La France a dans ses gènes le syndromes de la guerre civile, du communautarisme et le nationalisme.
Mitterrand dit que la Répu est ce que l'on croit juste. 1789 en est l'illustration. Le monde a tjr eu les yeux rivés sur la FR qui a un rôle d'avant garde. Un pbm local devient universel.
J.Jaurès «il faut aller à l'idéal pour comprendre le réel».
Tout ne commence pas en 1789, la plus vieille nation d'Europe qu'est la France est unifiée bien avant l'Angleterre qui n'est pas stable avant 1066 (Hastings). La FR est un empilement de couche multiples. Clemenceau l'avait résumé: «soldats de l'église d'hier, soldat de la liberté la FR aura tjr été soldat de l'idéal».
[...] Elle a le courage de se dresser contre la terreur et se bat pour la fin des injustices, elle la répu se propose comme avocate de LXVI. Elle refuse que l'on «souille» la révo dans le sang. Elle défend le divorce et le consentent mutuel. C'est une révo sociale dans une révo politique. Elle paiera de sa tête sa volonté d'égalité homme-femme. Elle sera à l'origine des premières lois de la maternité, de la descendance et des prémisses de ce qui sera le paxe. En 1793 elle est arrêté par les jacobins qui veulent rappeler la condition inférieures des femmes. [...]
[...] Ces déclarations restent cependant spécifiques à un peuple (corse, américain). Celle FR s'adresse à tous. Il ne peut y avoir d'ignorance de l'humanité, les droits naturelles sont inalégnables. Il y a une notion emprunté à l'Empire romain. Tous les articles de la DDHC sont importants et les distinctions sociales sont supprimées. -Le droit à l'insurrection fait partie intégrante des règles établies, si une loi est contraire à la DDHC il est possible poser une question prioritaire de constitutionnalité et en dernier recours le droit de se révolter, l'homme née libre et meurt libre sur 6 -L'article 5 présente la démocratie directe et le referendum, la loi est l'expression directe du peuple. [...]
[...] On supprime aussi les péages privées et la liberté de circulation est instaurée sur 6 -L'égalité fiscale (article on appel l'impôt «contribution», on juge la valeur des biens selon une valeur fixé à l'avance dans le cadre d'une location. Des droits d'ouverture se généralise (la patente) et les mairies prennent un rôle de contribution. Tous ces impôts finissent par organiser un rôle à chaque contribuables, selon le niveau de vie les impôts son différents. Ces éléments sont encadrés par le 1er consul dans le fameux cadastre. -Pour percevoir l'impôt on crée des percepteurs, receveurs. On supprime ce qui ne fonctionne pas comme les jurants et les corporations. [...]
[...] -Le chef lieu est placé de manière à ce qu'en 24h on puisse y arriver de partout du département. Il est le centre de la vie politique et dispose d'une cours d'assise et d'une chambre de commerce et d'industrie. Le système judiciaire se développe grace à ses chefs lieux. Mais il reste compliqué de créer un département 100% homogène, on tente de casser le particularisme locaux (haute Garonne). De même le département des Pyrénées Atlantique est composé de 2 grandes entités les basques et les béarnais qui ne se ressemblent pas mais doivent se supporter mutuellement. [...]
[...] Il y a contradiction avec les autres cahiers de doléances. Le clergé fait silence mise à part quelques abbés de campagnes qui pointent du doigt la corruption et le perversion de certains hommes d'églises qui se comportent tel des seigneurs. Le TM croule sous les impôts et demande l'abolition de la dîme, l'égalité judiciaire. Dans les villes montent des revendications des bourgeois qui savent lire-écrire et demandent des réformes fondamentales. L'abbé Siéyes traverse la révo et le consulat et pose la réflexion, la statistique révolutionnaire et le concept de nation. [...]
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