Sociétés pré-industrielles, croissance économique, Braudel, économie de marché, Rostow
W.w. Rostow : les étapes de la croissance économique, Paris 1960. Pour lui les sociétés pré industrielles sont rigides. Des composantes le sont, telles que la structure démographique d'ancien régime. Celle-ci consiste en une très forte mortalité. Avec des facteurs externes, tels que les épidémies (la peste) on a une croissance A du Xe siècle jusqu'en 1348 (peste noire) puis une décroissance B. À partir de 1350 on rentre en effet dans le petit âge glaciaire, et la guerre de 100 ans, cette phase de décroissance se terminera jusqu'en 1400. Au 17e siècle, on connaitra une période de décroissance due à la peste. Le climat est aussi un facteur de mortalité, qui a des conséquences sur les récoltes, ainsi Pierre Chaunu parle de « monde trop plein » du fait des crises de subsistance. Par ailleurs l'âge de mariage est d'environs de 25/28 ans ainsi la fécondité est faible puisqu'il faut une terre pour pouvoir se marier. À partir du 18e siècle, la mortalité est de trente-huit pour mille. La transition se passe au 18e siècle en France qui passe par une chute de la mortalité qui va engendrer jusqu'au 19e siècle une augmentation démographique. Puis on observe une chute de la natalité, cela est dû à une diversification de l'alimentation ce qui rend les organismes plus fort.
[...] On assiste à une convergence de ce qui est de l'ordre de la théorie et ce qui est de l'ordre de la pratique. Les sciences de l'ingénieur naissent par la fin du blocage entre les deux arts. Il va y a l'imposition de la méthode scientifique, on quitte le monde de la peu près pour rentrer dans le monde de la précisions. Le but est d'avoir une culture scientifique c'est l'utilitarisme, qui est l'idée qu'il faut éduquer les masses pour qu'ils puissent créer leur propres outils. [...]
[...] L'autre secteur qui pose problème à une dynamique industrielle, est le fait que 80% de la population est dans le secteur agricole car les rendements sont extrêmement faible. Ce secteur est très contrôle par l'état au travers des impôts (dime). Il va contrer l'analyse marxiste, pour l'évolution est dû aux gains de productivités. À partir du 19e siècle on a une croissance soutenue et autoentretenue. Quelle était la pré-industrie ? De celle qui précède le machinisme. La mécanisation du coton serait le point de départ de la mécanisation selon Marx et Hegel. [...]
[...] Pour lui les sociétés pré industrielles sont rigides. Des composantes le sont, telles que la structure démographique d'ancien régime. Celle-ci consiste en une très forte mortalité. Avec des facteurs externes, tels que les épidémies (la peste) on a une croissance A du Xe siècle jusqu'en 1348 (peste noire) puis une décroissance B. À partir de 1350 on rentre en effet dans le petit âge glaciaire, et la guerre de 100 ans, cette phase de décroissance se terminera jusqu'en 1400. Au 17e siècle, on connaitra une période de décroissance due à la peste. [...]
[...] Le secteur le plus dynamique des sociétés pré industrielle est le grand commerce international avec les importations et exportation entre Europe Amérique latine, ainsi qu'avec l'Asie. Tout cela s'inscrit dans une chaine d'innovation commerciale, avec des chartes . (Braudel). L'évolution du commerce, commence à partir des marchés et des foires qui sont des structures temporaires et qui deviennent permanente. À partir du 17e siècle les boutiques s'insèrent entre les jours de foires, on peut y négocier les prix contrairement aux marchés ou les prix sont fixés par l'état. [...]
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