Avant : la paysannerie incarne la stabilité sociale et la tradition
-Urbanisation (création des banlieues ouvrières autour des grandes villes européennes), multiplication des activités de service, développement des emplois industriels.
Le développement des emplois industriels représente, par opposition au monde rural, le domaine du changement social.
L'autre conséquence sociale majeure de l'industrialisation accélérée est naturellement l'accroissement d'un prolétariat ouvrier. (...)
[...] ( Le Japon apparaît comme une exception en Asie Orientale. Il a en effet réalisé en quelques décennies une croissance spectaculaire mais il a réussi à conserver son indépendance politique, et a réussi à préserver l'essentiel de sa civilisation originale. Dès 1914 l'économie nippone présente des traits de modernité. - Le Monde en marge de l'industrialisation. L'A.L. et l'Afrique on en commun un déséquilibre marqué entre une population peu nombreuse et un territoire immense. Mais deux situations très différentes ! [...]
[...] - Les fondements de la puissance européenne. Quatre solides piliers : - Force démographique (Pop. Européenne x 2,5 au cours du XIXème) - Avance intellectuelle et technologique accumulée depuis la Renaissance. (de 1900 à 1913, aucun Prix Nobel n'échappe à l'Europe.) - Une puissance industrielle édifiée depuis la fin du XVIIIème - Suprématie monétaire (s'exerçant par l'intermédiaire du Gold Standard) - Contrastes et contradictions en Europe. Ralentissement de la croissance britannique dès le début du XXème m^me si à la veille de la guerre la GB demeure le premier pôle commercial et financier du monde. [...]
[...] La livre Sterling est de très loin la meilleure liquidité internationale. D'un autre côté l'économie allemande est florissante et la France de la Belle Epoque connaît une réelle prospérité . La puissance allemande réside surtout dans le domaine industriel grâce à une maîtrise des techniques les plus modernes. (En 1913, l'All. représente 13% du commerce international). L'Angleterre se retrouve menacée par la concurrence des allemands et des français sur le vieux continent et se voit obligée d'orienter ses ventes vers un marché extra-européen. [...]
[...] - Transformation du capitalisme libéral Taylorisme au EUA avant 1914 accompagné d'une standardisation des produits (ex : Henri FORD) Fordisme : Rendre ses employés capables financièrement de s'acheter une voiture avec leur salaire five dollars a day - Evolution des structures professionnelles Avant : la paysannerie incarne la stabilité sociale et la tradition ( Urbanisation (création des banlieues ouvrières autour des grandes villes européennes), multiplication des activités de service, développement des emplois industriels. Le développement des emplois industriels représente, par opposition au monde rural, le domaine du changement social. L'autre conséquence sociale majeure de l'industrialisation accélérée est naturellement l'accroissement d'un prolétariat ouvrier. L'Europe du Nord-Ouest dominante mais contrastée. - Un rayonnement planétaire. [...]
[...] Le caoutchouc et le café = 90% des exportations brésiliennes. L'élevage = 84% de celles de l'Uruguay. - Des déséquilibres annonciateurs du sous-développement. ( Toutes ces économies attardées et dominées souffrent de déséquilibres structurels qui les prédisposent au sous-développement. Les activités modernes = 10 à 20% du revenu national. Celles-ci se développent en plus au détriment des activités traditionnelles locales indispensables à la vie des populations, et, s'intègrent au système capitaliste mondial risquant de servir davantage les intérêts des puissances dominantes que les besoins régionaux. [...]
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