révolution, droit public, absolutisme, tolérance religieuse, philosophes
Le 18ème siècle, c'est le siècle des philosophes. Philosophie = amis de la sagesse. Ces philosophes avaient une confiance absolue dans un principe : la raison. Ils voulaient mettre de la raison partout : en politique, dans la religion.
Les philosophes vont combattre les préjugés afin d'obtenir le bonheur. Pour atteindre le bonheur, il faut absolument instruire le peuple.
L'origine de tout cela est double :
•origine française : avec Bayle qui a écrit un dictionnaire historique à la fin du 17ème siècle contre le christianisme. Avec aussi Fénelon qui est anti-absolutisme.
•Locke défend le droit naturel et la tolérance religieuse.
[...] C'est une déclaration courte, cohérente et avec des raccourcis. : Les droits de l'Homme Un des promoteurs de cette déclaration est Lafayette. Il prétendait que cette déclaration devait être le prologue de la Constitution. Il voulait absolument poser immédiatement des principes de liberté, d'égalité, de souveraineté nationale afin de lutter contre un retour de l'absolutisme. Il est persuadé que c'est le droit naturel qui sera le meilleur rempart. Si on lit la déclaration on trouve une adhésion à Rousseau. Rousseau croyait en la bonté originaire des hommes. [...]
[...] La révolution de 1789 et le droit Le 18ème siècle, c'est le siècle des philosophes. Philosophie = amis de la sagesse. Ces philosophes avaient une confiance absolue dans un principe : la raison. Ils voulaient mettre de la raison partout : en politique, dans la religion Parce que jusqu'alors, il y a l'inégalité, il y a la censure faite par le roi, il y a la même religion et il y a l'absolutisme. Les philosophes vont combattre les préjugés afin d'obtenir le bonheur. [...]
[...] On substitue la souveraineté nationale à la souveraineté royale. La conséquence est qu'il n'y a pas de souveraineté directe ni de mandat impératif. Et aussi suffrage restreint et à 2 degrés. Le pouvoir législatif Monocamérisme : une chambre, un corps législatif. Unité de la nation = unité dans la chambre membres répartis sur 83 départements. Cette assemblée est élue tout les 2 ans et les parlementaires sont inviolables, c'est-à-dire irresponsables pour les actes accomplis dans l'exercice de leur fonction. Cette assemblée est permanente. [...]
[...] 27 juin 1789 : Le roi capitule. 9 juillet 1789 : l'assemblée nationale se déclare assemblée nationale constituante. Dès la fin du mois de juin, une rumeur circule à Paris et dit qu'un complot aristocratique se développe et c'est Marrat qui dès le début du mois de juillet écrit qu'il faut désormais surveiller le roi, surveiller ces ministres. C'est ce qui fait que le 11 juillet, lorsque le roi renvoie Necker, cette rumeur enfle et c'est ce qui pousse à peu près hommes à attaquer la Bastille pour les munitions. [...]
[...] Louis 16 a besoin d'argent et demande à l'assemblée d'enregistrer un impôt. Le 25 mai 1787, l'assemblée ne veut rien donné au roi. Il renvoie l'assemblée des notables car elle lui dit que les droits de la nation doivent être représentés par les états généraux. 2 juillet 1787, le parlement de Paris refuse d'enregistrer un impôt et indique au roi qu'il faut qu'il convoque les états généraux. Le 6 aout 1787, le roi tient un lit de justice et enregistre de force les édits fiscaux. [...]
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