Les réussites et les échecs de la IVème République

Résumé du document

Les réussites et les échecs de la 4ème République, fiche d'histoire contemporaine de 7 pages



La quatrième république et mais sans grands enthousiastes en 1946, se désagrège progressivement à partir de 54 et meurt en 1958. Encore aujourd'hui, le régime garde une mauvaise réputation. Ils renvoient souvent au thème de la décolonisation douloureuse et de l'instabilité ministérielle.





Section 1 : L'impuissance des institutions

Section 2 : L'impuissance à résoudre les problèmes coloniaux

Section 3 : La France sur la route de la puissance

Extraits

[...] Ce gouvernement résolu à remporter un succès militaire sur le F. L. N. il s'engage dans une guerre à outrance, aucune solution politique acceptée par tous n'est engagés. C'est une impasse politique qui aboutit à la paralysie de la vie politique découlant de l'éclatement de la majorité. Une grande partie de la gauche soit une solution négociée du conflit, rompre avec le gouvernement Guy Mollet. Son gouvernement est renversé en 1957. Les événements à partir du 13 mai 1958 montrent la gravité de la crise du régime. [...]

[...] En 1957, elle a besoin des USA, la CEE étant sous la protection américaine de l'OTAN. Les avantages de la CEE sont importants : La sauvegarde de la paix et elle permet à l'Europe de devenir une puissance comptant dans le jeu international. Conclusion : Dans le domaine économique comme dans celui de l'Europe, la 4ème République a établit un certain nombre de fondations sur lesquelles s'édifieront les années 60. Ce régime a en réalité un bilan contrasté où les réussites et les échecs se sont alternés. [...]

[...] La croissance se manifeste par une remise en cause de la politique de lutte contre l'inflation D'Auguste Pinet en 1952. Développement de branches industrielles à vive allure : cas de l'électroménager, aéronautique, automobile. Dans la campagne une modernisation des techniques, concentration des exploitations prépare en profondeur le mouvement agricole puissant, qui se développe à la suite. Cependant, des déséquilibres sont à noter dans le milieu des années 50 et marquées par une forte croissance du PNB et l'expansion française. B. [...]

[...] L'instabilité ministérielle La quatrième république connaît 23 gouvernements en 12 ans. Une telle instabilité ministérielle discrédite le régime aux yeux des Français et tient surtout aux clivages politiques qui se développent à partir de 1947 et qui rendent impossible la majorité stable à l'assemblée nationale. Les alliances sont fragiles et est fluctuantes, les partis incapables de s'entendre, il s'allie uniquement pour sauver le régime et subissent en même temps les assauts de l'opposition communiste et gaulliste. En effet, le R. [...]

[...] CED : le projet de René Pleven d'un comité européen de défense n'a jamais été ratifié par les parlementaires français et à été abandonné en 1954 sous le gouvernement de Pierre Mendès France. Les communistes et les gaullistes étaient farouchement opposés à ce projet. Les socialistes et radicaux sont divisés. Seul le MRP défend cette conception de l'Europe. Ainsi, les gouvernements successifs mènent une action peu spectaculaire en la matière. Ils fuient toute solution tranchée afin d'éviter la dislocation de majorité fragile. C'est l'immobilisme, la paralysie des institutions. [...]