guerre civile, Espagne, Guernica, Frente populare, général Franco
Devenue une République en 1931, l'Espagne durant l'année 1936 connaît comme en France une expérience d'unité gauchiste suite aux élections de février 1936.
C'est à la suite de cette expérience que le « Frente populare » accède au pouvoir. Le nouveau gouvernement mis en place s'engage dans des réformes d'un nouveau genre, telles que la laïcisation ou encore une réforme agraire. Ces réformes entraînent l'hostilité d'une part de la population espagnole : les conservateurs et les réactionnaires.
En effet ceux-ci sont défavorables aux avancées sociales et au système républicain. Un groupe d'officiers organise alors un coup d'État dirigé par le général Franco. Dès juillet 1936, une guerre civile éclate alors entre les républicains et les troupes franquistes.
[...] Un groupe d'officiers organise alors un coup d'État dirigé par le général Franco. Dès juillet 1936, une guerre civile éclate alors entre les républicains et les troupes franquistes. Cet événement s'inscrit dans un contexte international délicat, l'Allemagne nazie se révèle de plus en plus comme une menace imminente, l'internationalisation du conflit semble inévitable. Le 26 janvier 1939, après trois longues années d'une guerre civile Barcelone tombe dans les griffes du général Franco. Sa chute annonce le début de la défaite totale des républicains. [...]
[...] À la mi-février 1939, ce sont environ personnes qui ont été internées au camp fantôme d'Argelès dont environ soldats républicains. Lorsque le nombre d'exilés atteignait individus environ, des opérations de désengorgement s'opéraient vers les camps de Barcarès et Saint Cyprien pour grand nombre. Quand éclate la Seconde Guerre mondiale, ces hommes incarcérés se lanceront à corps perdu dans le combat contre les nazis qui occupaient une partie de la France. Près de Espagnols issus de la Retirada resteront en France, s'intégreront et referont leur vie dans la République française. [...]
[...] Le 28 janvier 1939, la frontière des Pyrénées orientales est ouverte aux civils. Les premiers exilés entrent donc en France, en février les espoirs républicains sont définitivement éteints, ce qui sommes l'heure de la Retirada. Celle-ci se manifeste par files interminables d'une population miséreuse et extrêmement fatiguée ; des fils de camions, de Charrettes également. Une véritable marée humaine se déplace vers la France. Quelque temps après, le gouvernement français décide de laisser entrer des soldats Républicains postés forment alors au Perthus, au col d'Arès, à Cerbère et Bourg-Madame. [...]
[...] Afin d'accueillir les réfugiés, le gouvernement français dispose des premiers camps sur le littoral méditerranéen. Il choisit la plage d'Argelès-sur-Mer comme un camp masculin d'un côté et composé de femmes et d'enfants de l'autre. Nous nous focaliserons sur ce camp en effet la photographie illustre le camp d'Argelès-sur-Mer à la fin janvier 1939. C'est un véritable camp de concentration, entouré de fils barbelés. Ce camp était encerclé continuellement par des gardes fortement armés. Le fait d'avoir séparé les hommes, des femmes et enfants au camp d'Argelès-sur-Mer à séparer des familles. [...]
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