Résistance intérieure, France, Deuxième Guerre mondiale, Londres, Jean Moulin
Suite à l'invasion de l'Allemagne sur le territoire français et à son occupation, des formes diverses de résistances font faire leurs apparitions.
A ses débuts, la résistance française se caractérise plus par des actes individuels et non organisés, par exemple le fait de tracer la croix de la Lorraine sur des murs, ou encore des « V » signifiant victoire, ou encore d'autre inscription avec pour but de défier l'occupant et de faire comprendre à l'Allemagne que son occupation n'est certainement pas acceptée de tous.
Par la suite, il y aura des journaux clandestins qui feront leurs apparitions, ils seront contre les occupants et le régime de Vichy, qui collabore avec les Allemands. Puis les mouvements de résistance commenceront gentiment à s'organiser, de nombreux groupes de combat s'associent pour une meilleure efficacité. La résistance a plusieurs activités et trois en particulier, il s'agit de donner à Londres des renseignements militaires sur l'occupant, de faire des actes de sabotages et d'attentats contre l'occupant et d'informer la population pour ne pas qu'elle passe dans la collaboration.
Au fil du temps, la résistance se renforce, notamment à partir de 1941, lors que le parti communiste français rejoint la résistance. Ce parti n'était ni pour l'Allemagne, ni pour le Royaume-Uni, mais il se place tout de même du côté de l'Allemagne. Mais il change de fusil d'épaule en 1941 pour rejoindre la résistance avec une branche armée : les Francs-tireurs et partisans.
[...] En effet les Allemands exécutèrent de nombreux otages. Les maquis sont des regroupements de combattants clandestins dans des régions difficiles d'accès, ils se trouvent principalement dans les régions montagneuses et près des forêts. En 1943, l'Allemagne impose le service obligatoire de travail, qui force les jeunes qui ont entre 21 et 23 ans partir travailler en l'Allemagne. C'est pourquoi de nombreux jeunes se réfugient dans les maquis, car ils ne veulent pas allés travailler en Allemagne. Les maquisards sont fournis en armes par les parachutages des alliés, on estime leur nombre à plusieurs centaines de milliers d'hommes en 1943. [...]
[...] Je pense cela, parce qu'au début de l'occupation les actes de résistances sont plutôt des symboles ou des mots tracer sur les murs pour défier les occupants. Analyse : Sur cette image, Hitler est présent. On voit qu'il est étonné parce que pour lui, après que la France est signé l'armistice elle ne résisterait pas à l'occupation allemande, ni aux décrets qui figuraient dans l'armistice. En effet, comme Pétain était pour la collaboration avec l'Allemagne et que la majorité de la population française soutenait Pétain, il n'envisageait pas qu'il puisse y avoir des résistants en France. [...]
[...] La résistance fut dirigée par deux hommes, le Générale de Gaule et Jean Moulin. Le Générale de Gaule décide de ce rendre à Londres à la suite de la défaite de l'armée française pour continuer le combats et résister. Il n'est pas d'accord sur fait de signer l'armistice et encore moins avec les conditions de celle-ci. Pour cela il lance un appel à la résistance à la radio qui est peu entendu en France. Mais les forces de la résistance s'organisent gentiment à Londres. [...]
[...] Au fil du temps, la résistance se renforce, notamment à partir de 1941, lors que le parti communiste français rejoint la résistance. Ce parti n'était ni pour l'Allemagne, ni pour le Royaume-Uni, mais il se place tout de même du côté de l'Allemagne. Mais il change de fusil d'épaule en 1941 pour rejoindre la résistance avec une branche armée : les Francs-tireurs et partisans. Face à cette résistance, l'Allemagne ne reste pas les bras croisés, puisque après chaque sabotage ou attentat, ils s'en prennent à la population locale. [...]
[...] On le voit bien dans les conditions imposées à la France à travers cet armistice. Mais de ce cercueil on voit qu'il y a un bras qui sort. Ce bras est en train d'inscrire un V sur le mur, ce V signifie victoire. En effet, durant l'occupation de nombreuses inscriptions apparaissaient sur les murs, notamment au début de l'occupation. Elles étaient faites par des résistants français. Parmi les nombreuses inscriptions écrites sur les murs certaines revenaient régulièrement, comme la croix de la Lorraine, ou le V de victoire comme il apparaît sur cette image. [...]
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