Etats-Unis, multilatéralisme, relations internationales, attentats, Conseil de Sécurité
Il y a un premier élément, c'est la crise américaine qui est d'abord une crise morale dans le domaine international et qui à partir de 2008 devient une crise financière.
Il y eut deux temps à la réaction des attentats mais lors des évènements, très rapidement après, le Conseil de Sécurité va se réunir et les Etats-Unis vont bénéficier d'un soutien sans faille de la part des états du Conseil de Sécurité membres des Nations Unis.
[...] En 2008, sous Obama il y'eut des évolutions mais pas facilement : la prison de Guantanamo, l'engagement de Obama était de la fermer ; sous Bush cela servait pour des personnes identifiées comme terroristes pour ensuite les neutraliser, les bases militaires ont eu lieu avec des actes de tortures, ces personnes qui les ont commis n'ont pas pu être jugés, la prison reste un épine colossale pour Obama car il est partagé entre les opinions publiques et ses engagements, la crise morale se prolonge depuis 2008 par une crise économique qui montre l'échec de la dérégulation (crises des subprimes). L'attitude de l'administration d'Obama est de faire le tri entre les prisonniers dangereux, la position américaine : faire pression sur Israël pour le peuple palestinien. [...]
[...] Cette opération fût un échec sur toutes les étapes d'où une violation de la Charte. L'opération en Afghanistan n'a pas changé les choses. [...]
[...] Relations internationales Le multilatéralisme post 11 septembre 2001 Le multilatéralisme post 11 septembre 2001 Il y a un premier élément c'est la crise américaine qui est d'abord une crise morale dans le domaine international et qui à partir de 2008 devient une crise financière, il y eut deux temps à la réaction des attentats mais lors des évènements, très rapidement après le Conseil de Sécurité va se réunir et les Etats-Unis vont bénéficier d'un soutien sans faille de la part des états du Conseil de Sécurité membre des Nations Unies qui se traduit par l'adoption, les délégués inter étatiques sont allées voir les ambassadeurs des Etats-Unis ensuite l'administration de Bush va avoir une stratégie dans la lutte contre le terrorisme qui va passer par la guerre contre le terrorisme (formule de Bush), c'est une intervention première et sera menée en Irak et en Afghanistan et va conduire à un discrédit des Etats-Unis sur la scène internationale car la guerre en Irak est engagé par le pays en 2003 et à cette époque ils tentent d'obtenir une résolution du Conseil de Sécurité qui autoriserait l'intervention militaire en Irak (Chapitre 7 de la Charte des Nations Unis), cet acte a un caractère obligatoire et ne l'obtiendront pas et ce projet sera retiré avant mais sera discuté dans le Conseil par des états dont la France en particulier, ainsi les Etats-Unis interviendront unilatéralement sans l'avis du Conseil d'où une invasion militaire en Irak, l'administration de Bush : le discrédit viendra du mensonge initial, pour justifier l'intervention par Powell selon l'administration de Bush et il y'aura des critiques venant d'états alliés et cette intervention continue dans le chaos avec des attentats en Irak et l'intervention militaire Irakien est désastreux et il y'aura des dérives colossales dont des images sur le net où des militaires américains humilient des irakiens. Le retrait américain laisse un pays déstabilisé sur le plan interne : région irakienne et des violences et ce pays évoluera-t-il vers la démocratie. [...]
[...] L'hégémonie américaine est remise en cause par la contestation de légitimité internationales et des pays émergents : la Chine avec une dette colossale à l'égard des Etats-Unis et hostile à l'égard de la notion de puissance, l'Inde et le Brésil, la situation s'accompagne de l'évanescence de l'UE : l'identification de culturation , politique étrangère commune par des déclarations communes qui correspondent à un minimum commun (si un sujet de controverse est choisi, on identifiera un sujet et on observera la position commune , l'UE se pose des questions sur la viabilité de la zone euro et l'intégrité de l'UE. Le conseil de l'Europe distincte de celle de l'international, une négociation est faite en tant qu'institution internationale pour qu'elle devienne partie membre à la convention internationale des droits de l'homme. [...]
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