relations internationales, hégémonie américaine, équilibre, institutions politiques, puissance militaire
Il faut identifier des éléments dans les relations internationales qui permettraient de rétablir un équilibre mais il existe une présence multipolaire : des constructions binaires, il y a des pôles de reconstruction avec l'hégémonie américaine.
C'est une supériorité fondée sur la puissance qui se traduit dans le comportement de l'état concerné, dans sa situation et dans les relations des autres états. L'hégémonie se traduit pas une population nombreuse, une population plus qualifiée que les autres populations, une population plus dynamique, ça se traduit par des institutions politiques stables, c'est aussi un état doté d'une grande puissance militaire et d'une certaine richesse économique.
[...] Relations internationales: l'hégémonie américaine Les éléments de recomposition Il faut identifier des éléments dans les relations internationales qui permettraient de rétablir un équilibre mais il existe une présence multipolarité : des constructions binaires, il y'a des pôles de reconstruction avec l'hégémonie américaine. L'hégémonie américaine Définition C'est une supériorité fondée sur la puissance qui se traduit dans le comportement de l'état concerné, dans sa situation et dans les relations des autres états. L'hégémonie se traduit pas une population nombreuse, une population plus qualifiée que les autres populations, une population plus dynamique, ça se traduit par des institutions politiques stables, c'est aussi un état doté d'une grande puissance militaire et d'une certaine richesse économique, cette situation correspond aux résultats de stratégies choisis par l'état qui est en lien avec la politique d'immigration (qualifiée), cette situation de l'état fait qu'il sera perçu par les autres états comme un modèle et ces autres états voudront le soutien des Etats- Unis, d'où un positionnement qui est d'accepter le modèle ou de placer sous sa protection. [...]
[...] L'influence peut être intellectuelle par des centres culturels ou plus dure avec des interventions militaires, l'influence est une diversité de stratégie pour maintenir les intérêts de l'état dans le cadre internationale. De nos jours, on peut parler d'hégémonie américaine au regard de certains éléments qui sont intangibles : l'ampleur du territoire américain (qui s'étend sur le continent), supériorité militaire, supériorité technologique, un fort de redéveloppement économique et puis aussi il y'a encore une forte influence culturelle qui est ambivalente. Par exemple il y'a une diffusion de la culture américaine par des modes de consommation (le cinéma par exemple) ; il existe des sentiments de la population française ) l'égard des Etats- Unis ; les Etats-Unis ont des prétention sur la scène internationale et prétendent définir ce qui relèvent de la sécurité internationale (politique étrangère marquée par la volonté de mettre fin à des situations qui touchent la sécurité internationale), les Etats-Unis interviennent sans l'avis du Conseil de Sécurité. [...]
[...] Après la guerre froide il y'a l'effondrement du bloc communiste et la dimension idéologique disparaît. Du point de vue des Etats-Unis : la puissance portée à son maximum, un ministre des affaires étrangères Védrine a parlé de superpuissance : puissance supérieure aux autres, qui ne se partage pas avec les autres, c'est une puissance qui n'a aucun égal et qui peut imposer de manière unilatérale : un état plus puissant peut procéder en imposant ses vues aux autres et sa conception des relations internationales aux autres. [...]
[...] D'autres états par une tradition historique vont contester pour d'autres raisons : la France étant un état ami des Etats- Unis conteste l'hégémonie américaine au nom d'une conception des relations internationales multipolaires, cette position est vérifiée. (Intervention américaine en 2003 sans autorisation du Conseil de Sécurité, il n'y pas eu de vote d'où l'absence de pouvoir émettre un veto pour la France). D'autres états qui la contestent, comme la création récente des BRICS : (réunion informelle avec la Russie, le Brésil, l'Inde et la Chine avec l'Afrique du Sud) c'est une tentative de former une définition de la diplomatie, ces états tentent de s'entendre mais il existe des approches sur lesquels ils ne peuvent pas s'entendre. [...]
[...] Les attentats du 11 septembre correspond à l'hypothèse cauchemardesque car avant c'était l'inviolabilité du territoire : ça ébranle la thèse, ça conduit à ré envisager leur positionnement, leur politique étrangère et doive leur faire par une créativité : on n'est pas dans une guerre classique, les états unis ne peuvent pas agir en situation comme en opposition on est dans une configuration transnationale : un état et un groupe d'individu non identifié car les individus sont des étrangers avec nationalités diverses qui peuvent être des ressortissants américains car les méthodes habituelles dans le cadre des relations inter étatiques ne sont pas sollicitées, ;les politiques de dissuasions sont inopérantes : ennemi clairement identifié, rationnel et qui évalue les situations : pertes sauf que l'ennemie est non identifié et n'est pas rationnel car un groupe terroriste donne des vies sans une préservation de la vie d'où une difficulté à appréhender le phénomène ; pour faire face à cela, le pays va adopter des stratégies reposant sur l'unilatéralisme : choix de déterminer ses interventions à l'étranger, du point de vue interne, ils sont confrontés à des obstacles : remettre en cause la théorie de territoire protégé, il n'est plus inviolable, les attentats verront des incidences, en 2001, du point de vue idéologique, l'idéologie communiste est balayé, l'idéologie libérale et capitaliste : imposées à tous et devenus universelles, les attentats sont révélateurs dans la mesure où ils mettent en évidence les failles du système capitaliste car ce système par la façon dont ils s'organisent à laisser à des groupes d'actions aux terroristes comme aux WTC ou au Pentagone , ce réseau a bénéficier d'un avis financier, des comptes ont été ouverts, on a le preuve que la lutte du financement contre le terrorisme n'est pas inefficace et la dérégulation. Ces attentats ont été possibles car ils ont accepté un recul du rôle de l'état dans les présidences, la sécurité des aéroports : limité car les fonctions étaient assumées par des sociétés privées, d'où des insuffisances. Après les évènements, les Etats- Unis feront face par des procédés par l'injection massive de capitaux : administration nette libérale, l'idéologie libérale et capitaliste est ébranlée, le 2ème pole des recompositions des relations internationales : européen. [...]
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