Thème d'histoire : Fragilités des démocratie, Totalitarismes et Seconde Guerre mondiale (1929-1945) chapitre : Les régimes totalitaire
[...] Il y a Daladier, Chamberlain, Hitler et Mussolini. Ils finissent par accepter l'annexion de la région de la bohème Moravie. C'est les accords de Munich. En réalité, le fait que Daladier ai accepter que l'Allemagne annexe la Bohême Moravie, est l'échec des démocratie. Le pacte de non-agression entre l'Allemagne et l'URSS a été signée quelques jours avant le déclenchement de la seconde guerre mondiale. Ils sont opposé idéologiquement mais signent un pacte. Ça veut dire que s'il y a la guerre qui reprend, ils ne se feront pas la guerre. [...]
[...] On va assister à une collectivisation forcée (lutte contre tous les propriétaires de terres). Les koulaks sont les propriétaires terriens. L'état va faire la dékoulakisation. Le Kolkhoze est une coopérative agricole. La ferme, les terres et les animaux appartiennent à tous ceux qui travaillent. Le Kolkhoze est vendu à l'Etat uniquement. Cependant, il existe aussi les sovkhoze. C'est une sorte de ferme d'état. Les paysans qui y travaillent, peu importe leur production, ils seront payée de la même manière. En Allemagne, on s'appuie sur les écrits d'Hitler. [...]
[...] Il y a eu l'axe Rome- Berlin en 1936 qui été seulement diplomatique. ils ont ensuite signer une alliance militaire. On appelé ça le pacte d'acier (1939). Dans d'autres pays, on va voir se développer des systèmes autoritaires et des dictatures. Elles se multiplient en Europe. [...]
[...] Le roi reste au pouvoir jusqu'en 1946. Les 3 dictateurs sont considérés comme des guides. En Italie c'est le « Duce », en Allemagne c'est le « Fuhrer » et en URSS le « Vojd ». Des sociétés encadrées Le but des ces propagandes est de créer un homme nouveau : un guerrier, un homme fort, grand, musclé. Cette affiche est en Allemagne. L'homme nouveau en URSS est différent. Il symbolise un ouvrier. Ce qu'on appelé le prolétaire. Le point commun aux trois c'est l'homme nouveau mais ils n'ont pas tous la même définition. [...]
[...] Le roi est Victor-Emmanuel III mais n'a pas beaucoup de pouvoir, c'est son premier ministre. Ce n'est pas une démocratie. Il y a certaine crainte de la part des classes aisées. Ils pensent qu'il y aura une révolution comme en Russie. Ce mouvement fasciste a le soutien de certaine personne, les plus aisée et ceux qui adhèrent à leur idée. Le roi finit par céder et appelé Mussolini au gouvernement. La marche sur Rome est une démonstration de force. Le roi lui demande de crée un gouvernement de coalition (le partie fasciste et la droite italienne). [...]
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