cours parlant des cadres politiques de la question religieuse, des trois religions sous le Concordat, et de de la laïcisation à la séparation
[...] DE LA LAÏCISATION A LA SEPARATION Les républicains gagnent politiquement à partir de 1879. À Gauche, ce qui mobilise est le rejet du cléricalisme, le but des républicains est de diminuer l'influence de l'église sur la société. En 1880 on supprime le repos de dimanche et ce n'est rétabli qu'en 1906, et on s'efforce de séparer l'école de l'église. On interdit aux congrégations le droit d'enseigner. On impose en 1882 l'instruction laïque jusqu'à 12 ans, et à la place de l'instruction religieuse on met le cours de morale et d'instruction civique. [...]
[...] ) à partir de 1886. En 1892, le pontificat de Léon XIII explique que les catholiques peuvent accepter la République car c'est un Etat officiel. Léon XIII ne suit pas la même ligne que son prédécesseur et essaye d'adapter l'église catholique au monde moderne. Il est libéral sur un point de vue économique, donc un catholicisme social se développe appelant à ce que les droits des ouvriers soient respectés = tentative de reconquérir les milieux déchristianisés. Une nouvelle tension aboutit à la séparation de l'église de l'Etat : l'affaire Dreyfus, que devient une affaire qui délimite 2 camps (dreyfusards et antidreyfusards). [...]
[...] » En 1830 on a une révolution car la monarchie de Charles X qui était très attaché à la religion, cependant, le fait que la religion fait partie de l'enseignement prévoit bien que l'instruction primaire comprend l'instruction morale dans les écoles publiques. En 1848, la révolution entraîne en 1849 la « question romaine ». L'Église catholique face au libéralisme En 1834, un catholique Lamennais écrit dans son livre qu'il veut concilier la fois catholique et la vie politique, qui est condamné par Rome. [...]
[...] Avec cela, ne fait que monter le culte de la raison, de la science. Ce militantisme, est un acte assez fort, et se manifeste de manière collective lors des obsèques (grandes manifestations) qui ont un sens politique LES TROIS RELIGIONS SOUS LE CONCORDAT Les catholiques Il y a des régions et sociétés déchristianisés comme les ouvriers, petite bourgeoisie et les paysans. L'église a changé ses discours pour sensibiliser ces personnes, qui se préoccupent de la question sociale, du sort des ouvriers. [...]
[...] A ce moment, le pape est encore souverain sur une partie du territoire Italien, et Rome est sous la souveraineté du pouvoir de Pape. Comme le catholicisme, toute question concernant le pape en Italie, a un impact sur la religion dans tous les pays. Dans le cas français, un conflit se développe entre l'église catholique et les républicains, qui apparaissent dès le début du XVIII siècle. LES CADRES POLITIQUES DE LA QUESTION RELIGIEUSE La France du concordat (1802) Le Concordat est un accord entre l'église catholique et un État. [...]
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