Proche-orient, Moyen-Orient, conflit, 1945, Guerre froide, URSS, Etats-Unis, Sinaï, Cisjordanie, Kippour, bande de gaza, El Sadate
Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, le Moyen-Orient et le Proche-Orient sont une région de tensions très diverses quasi-permanente, aux origines multiples et pas uniquement régionales. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la convoitise des Européens puis des deux grands s'est accrue car c'est une région de carrefour, stratégique et qui possède des ressources énergétiques importantes. Elle a été le théâtre de rivalités entre les Etats-Unis et l'URSS depuis toute la Guerre froide et elle reste encore aujourd'hui au cœur d'enjeux importants dont les répercussions se ressentent dans le monde entier.
[...] Proche et Moyen-Orient, un foyer de conflit depuis 1945 Introduction : Depuis la fin de la 1re GM, le MO et le PO sont une région de tensions très diverses quasi permanente, aux origines multiples et pas uniquement régionales. Depuis la fin de la 2de GM, la convoitise des Européens puis des deux grands s'est accrue, car c'est une région de carrefour, stratégique et qui possède des ressources énergétiques importantes. Elle a été le théâtre de rivalités entre les E.U et l'URSS depuis toute la GF et elle reste encore aujourd'hui au cœur d'enjeux importants dont les répercussions se ressentent dans le monde entier. [...]
[...] Les mouvements islamistes contestent alors la présence occidentale : - Le Liban avec Hezbollah [mvt terroriste chiite pro-iranien fortement opposé aux occidentaux et qui soutient des mouvements opposés aux intérêts américains dans d'autres pays comme le Liban] - À Gaza, avec le Hamas (le mvt d'Al-Qaïda, d'Oussama Ben Laden appelle au djihad (=attentats du 11sept) B. Mais le conflit israélo-palestinien continue d'empoisonner les relations au PO. En nov l'OLP proclame l'existence d'un État palestinien indépendant et condamne le terrorisme. En 1993, les accords d'Oslo ouvrent un processus de paix et créent l'Autorité palestinienne, tandis qu'Israël et l'OLP se reconnaissent mutuellement. [...]
[...] À peine constitué, le 14 mai 1948, l'État d'Israël est confronté à une coalition d'États arabes. Les combats tournent à l'avantage des Israéliens, qui occupent de l'ancienne Palestine et Jérusalem- Ouest (Jordanie annexe la Cisjordanie). Des accords d'armistices mettent fin aux hostilités. B. La région devient un théâtre d'affrontement entre les 2 grands. L'URSS veut débarrasser le PO et MO de l'impérialisme occidental, incarné d'abord par la France et le RU, puis par les E.U. Dans cette optique, après avoir soutenu Israël en 1947, l'URSS privilégie les mvts nationalistes arabes. [...]
[...] L'Égypte qui est dirigée par El-Sadate lance une offensive contre Israël, le 6 octobre, lors de la fête juive du Grand Pardon au cours de laquelle son armée envahie le Sinaï. Victoire égyptienne avant une contre-offensive israélienne (les conflits se doublent d'une guerre du pétrole : réunis à Koweït, les pays arabes producteurs décident une hausse de du prix du pétrole brut ainsi qu'un embargo contre les pays soutenant Israël. En sept 1978, l'Égypte et Israël signent à Camp David un traité de paix et normalisent leurs relations diplomatiques, Israël évacuant le Sinaï. [...]
[...] Ils réagissent en attaquant l'Afghanistan, puis l'Irak. - Islamisme politique en Irak, au Pakistan, dans les territoires palestiniens suite à la victoire du Hamas dans la bande de Gaza. - À partir de 2011, un ensemble de mouvements populaires, partis de Tunisie et d'Égypte, réclame le départ des dictateurs et l'instauration de la démocratie : c'est le ‘printemps arabe'. Porteur d'espoir, il ouvre sur un avenir incertain dans des pays où toute opposition fut muselée pdt des décennies. Conclusion : Conflit israélo-palestinien omniprésent et semble difficilement pouvant être réglé, car s'ajoutent aux tensions politiques des problèmes liés aux ressources et aux hommes. [...]
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