Fiches d'Histoire condensant la période giscardienne (1974-1981). Axées avant tout sur l'événementiel (élections, fait divers...), elles soulèvent les problématiques et les questions de cette époque jusqu'à l'arrivée de la gauche à l'Elysée.
[...] Avec 12 candidatures, la vie politique semble être divisée. Seule la gauche est unifiée autour de Mitterrand. VGE réformera par la suite le nombre de signatures de parrainage requises, en en portant le nombre à 500. La droite et le centre sont partagés entre plusieurs candidatures. Chaban Ranime sa nouvelle société et est supporté par l'Etat major de UDR, ces gaullistes historiques, mais également par les centristes pompidoliens. VGE un vrai président bénéficie de appuis des RI, sa famille politique, mais aussi d'une part du Mouvement Réformateur ( JJSS et Lecanuet et d'autre part d'une partie des gaullistes conduite pare le ministre de l'intérieur J. [...]
[...] L'ouverture des frontières entrera en contradiction avec la souveraineté nationale gaulliste. La conjoncture internationale peu faste (crise de 1973 et de 1979 VGE, économiste de formation, sera battu sur son propre terrain en par la crise. Le maintien d'un risque inflationniste élevé (malgré arrivée de Barre en 1976 ) : en 7 ans , les prix ont doublé. Le chômage connaîtra également son développement : de 2 à de la population active. Plan extérieur : Souci VGE de privilégier axe N-S plus qu'axe Est-Ouest. [...]
[...] 1/3 femmes actuellement 5/63 depuis le début. Moyenne d'âge actuelle = 68 ans en 2006. Les ex-présidents de la République, sont membres à vie, mais seul rené Coty y a siégé. Certains aimeraient voir la saisine du CC par n'importe quel citoyen 1981 : rigueur, présidence en butte aux crises pétrolières, divisions au sein de la majorité. Loi répressive sécurité et liberté tranche avec les audaces réformistes du début. En 1974 : UDR perd la présidence, mais participe à la, coalition gouvernementale. [...]
[...] Mitterrand espère bien se montrer unitaire pour deux, afin de contraindre le PCF à s'allier au PS dans une position minoritaire. Au congrès de Metz de 1979, le PS s'allie au CERES (plus à gauche) contre Roccard et Mauroy. Rivalité Mitterrand Roccard (ex-PSU) met en compétition des personnes et des stratégies : Mitterrand est pour l'union de la gauche, quand Roccard se veut moins directif pour l'économie. Roccard joue les sondages contre les cadres du parti. Giscard a longtemps cru affronter Roccard, et a trop sous-estimé Mitterrand. [...]
[...] En Centrafrique, la France soutient Jean-Lionel Bokassa devenu empereur en 1977, les cadeaux faits à la France entachera la présidence de Giscard. Relations France-URSS se renforcent vers la fin des années 70, mais ce rapprochement est mal perçu par son propre camp (non condamnation de l'invasion de Afghanistan en 1979, absence d'aide à Solidarnosc, soutien à la Russie, apaisement lors des JO de Moscou de 1980 en 1981, la Pravda, organe du PCUS, acclame VGE Concernant l'Europe, VGE encourage la construction communautaire davantage que ses prédécesseurs. [...]
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