Ce document est une fiche de révision complète sur l'histoire médiévale.
Voici son plan :
I – La fin des principautés
1) Les cas bourguignon et breton
2) Voies et difficultés d'intégration
II – Les bonnes villes à leur âge d'or
1) Gouvernement autonome et fiertés urbaines
2) Entre obéissance à la couronne et entente avec la monarchie
III – Les assemblées représentatives : un partenaire en trompe l'œil ?
1) Une « institution » instable
2) Un rôle incertain : approbation, contrôle ou tutelle de la monarchie ?
[...] L'insertion de ces principautés ne constitue pas une fusion avec le royaume de France, celles-ci gardent une large part de leurs coutumes. II - Les bonnes villes à leur âge d'or : Gouvernement autonome et fiertés urbaines : Collectivités urbaines diverses (échivenages, consulats), leur autonomie est variable. Le roi octroie des institutions urbaines aux villes qui en sont dépourvues, ex : Mende. Création d'échevinages permettant au roi d'avoir des interlocuteurs, les échevins sont des marchands, financiers ou des officiers royaux renouvellement de ces équipes tous les ans, ce sont de précieux auxiliaires du roi. [...]
[...] En 1497, apparition du terme de province terme administratif montrant l'intégration des communautés au royaume de France. En 1506, E.g de Blois approuvent la politique matrimoniale de Louis XII. Les Etats régionaux sont plus difficiles à mettre au pas, chacun défend ses intérêts. Conséquences : Mises au pas plus au moins brutale des interlocuteurs de la monarchie. Les bonnes villes se tiennent tranquilles, les Etats généraux ne disposent pas d'une ligne commune car pas de sentiment d'appartenance communautaire ils ne parviennent pas à imposer une cogestion du royaume de France. [...]
[...] Entre obéissance à la couronne et entente avec la monarchie : Entente cordiale avec la monarchie, les bonnes villes ont besoin de la paix pour que le commerce reste dynamique. Les bourgeois se révoltent contre leur seigneur à cette époque, le roi considèrent ces premiers comme détenteur d'une délégation sur laquelle il peut revenir Louis XI a octroyé des échevinages : le chef de la municipalité est choisi par le prince parmi 3 noms proposés, pas de véritable liberté locale. [...]
[...] Le Clergé et la Noblesse sont représentés de manière uniforme. Rédaction de doléances des villes et villages synthétisé dans un cahier de baillage puis un cahier national. Lors des Etats généraux de Tours les décisions sont prises par un vote à la majorité par tête ou par ordre. Les députés doivent payer leurs frais de missions ils sont aidés par leur ville d'origine mais cela est très coûteux. Un rôle incertain : approbation, contrôle ou tutelle de la monarchie ? [...]
[...] Les pays face à l'État royal : principautés, bonnes villes et assemblées représentatives En 1477, le royaume de France est une mosaïque de territoires rapport de force favorable au pouvoir royal mais il reste des oppositions : Les grandes principautés (apanages) imitant les structures monarchiques. Les bonnes villes disposant d'une puissance financière et d'une administration autonome. Les Etats généraux qui se sont réunis trois fois durant la période étudiée. I - La fin des principautés Les cas bourguignon et breton : A la fin du XVème siècle désagrégation du duché de Bourgogne et du duché de Bretagne. [...]
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