Pangermanisme, source de conquêtes nazies, Hitler, Anschluss, parti nazi, Wehrmacht
Le nazisme est un pangermanisme, l'idée selon laquelle l'ensemble des populations de langue et de culture allemandes soit placé au sein d'un même État. Après avoir épuré les cadres diplomatiques et militaires, Hitler passe à l'offensive avec l'Anschluss. Elle est d'autant facilitée qu'il y avait déjà des nazis en Autriche. Ces derniers ont assassiné l'homme fort du régime : le chancelier Dolfuss. Le pays est donc affaibli à partir de 1934.
[...] En un mois, le 27 septembre, l'armée polonaise est écrasée et signe l'armistice. C'est la première fois que la Blitzkrieg est mise en œuvre et démontre son efficacité. La Wehrmacht et la SS ne font pas la distinction entre les civils et les militaires. Les massacres sont nombreux, même après la capitulation. Les nazis vont expurger les élites polonaises et membres des élites sont massacrés. Un guerre totale contre la population est engagée et caractérisera les campagnes allemandes. Une partie de la Pologne est rattachée au Reich, l'URSS annexant l'autre. [...]
[...] Le plébiscite est organisé le 15 avril de la population est favorable à l'Anschluss. Mais même après l'Anschluss, il reste des Allemands hors des frontières L'humiliation de Munich IL reste notamment des allemands en Bohème : les Sudètes. Hitler bénéficie du fait que chez les Sudètes, il existe un parti nazi, auquel les sudètes sont très favorables. Il donne donc l'ordre à ce parti de faire monter la pression auprès des autorités tchèques. Il veut apparaitre comme le sauveur de la minorité allemande face aux autorité. [...]
[...] Elle est d'autant facilitée qu'il y avait déjà des nazis en Autriche. Ces derniers ont assassiné l'homme fort du régime : le chancelier Dolfuss. Le pays est donc affaibli à partir de 1934. En 1938, Hitler n'hésite pas à convoquer le nouveau chancelier autrichien à Munich : Kurt von Schussnigg. Hitler lui impose donc de prendre A. Seyss Inquardt, chef des nazis autrichiens dans son gouvernement, en tant que ministre de la sécurité. Ce dernier s'empresse d'organiser un coup d'Etat le 11 mars 1938. [...]
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