Naissance du communisme en Russie, origines, révolution, pouvoir autocratique, Nicolas II, tsarisme, révolution de février 1917, question ouvrière, agriculture russe, soviets, Zemstvos, révolution de 1905, Marx, Engels, populisme, réformes
Le communisme est une organisation économique et sociale fondée sur la suppression de la propriété privée au profit de la propriété collective. Dans le cas de l'Union soviétique on se réfère au communisme de Marx et d'Engels. La spécificité de tous appartient à l'Etat. C'est un système social prévu par Marx et Engels où les biens de productions appartiennent à la communauté socialiste d'Etat, c'est un stade transitoire vers le communisme. En 1898 il y a la fondation du parti sociale-démocrate russe, en 1903 à Londres, ce parti éclate en deux courants : un minoritaire avec les mencheviks et un majoritaire avec les bolcheviks. En 1991 c'est la fin URSS, le 25 décembre quand Gorbatchev se rend à son bureau (et qu'il n'y a plus rien, car il n'y a plus d'Union soviétique).
Le communisme est un thème profondément lié à l'histoire de la Russie, c'est le grand paradoxe de ce sujet. On n'aurait pas pensé à la Russie car cette révolution a éclaté dans un pays très rural, au système politique très particulier. Nicolas II et Alix de Hesso (Alexandra Fiodorovna) représentent la dynastie au pouvoir. En 1890, le tsar Alexandre II vient de mourir. C'est une forme de monarchie absolue. Le code de la loi russe précise que le suzerain a "un pouvoir autocratique illimité auquel tous sujets doit se soumettre, non seulement par crainte, mais en conscience comme Dieu lui-même l'ordonne". Ce pouvoir autocratique s'incarne dans le tsar.
[...] La guerre est à l'origine de la révolution de 1918 : responsabilité non personnel du tsar. Problème de la Russie : échec au niveau de la guerre. Elle a eu un bilan plus terrible encore que celui de la France : 1 millions morts, et 6 millions de russes blessés. Avancés des troupes allemandes a surtout lieu en Pologne. Difficultés de l'armée russe : Nicolas II se sent responsable : il prend la tête des chefs des armées est encore très difficiles : perte d'importance. [...]
[...] Cela arrive à la fin de la révolution. La scène se passe dans la salle dans le palais du taurine, lieu où il y avait la Douna à 40 personnes lancent le soviet. Le soviet représente le peuple en révolte. [...]
[...] Il n'y a pas un seul chef ou leader, par un nom de parti : il n'y a que des masses. Tout est toujours général. On a l'impression d'une révolution qui a eu lieu spontanément. Ceux qui ne sont pas là, ce sont les révolutionnaires. Les plus absents sont les bolcheviks. Cela est un peu dérangeant. Les bolcheviks pour faire genre qu'ils avaient participés, ont fabriqué de faux tracts pour donner l'illusion d'avoir été présent. Création d'un soviet : les russes reconstituent comme en 1905, des soviets notamment à Petrograd. [...]
[...] Si il y a eu une opposition en Russie, elle est clandestine, ou en exil. Cela n'empêche d'avoir deux grandes familles d'opposition en Russie : Le populisme : c'est un élément bien vu en Russie. Le peuple voit le populisme comme quelqu'un voulant du bien au peuple. Le père du populisme est Alexandre Herzen (il a eu la malchance de vivre sous Nicolas Ier, et a donc été exilé une bonne partie de sa vie). Pour lui, l'Europe de l'Ouest est une région décadente, épuisé sans rien ne sorte de bons. [...]
[...] Seul le tsar peut distinguer certains membres de son peuple, sinon ils sont tous au même niveau. Problème au niveau du territoire : celui-ci est loin. Le noble a donc un rôle. Ils possèdent également des domaines (la richesse en Russie se calculant en hectare de terre, mais aussi en nombre des âmes les paysans qui sont cerf jusqu'en 1861). Une foi : l'orthodoxie la vraie foi). Le tsar doit être obligatoirement orthodoxe. Quelques problèmes et avantages : les prêtes sont au service du tsar. [...]
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