Mémoires collectives, Deuxième Guerre mondiale, mémoire de la Résistance, temps des mythes, fin des mythes, mémoires de la collaboration
La mémoire est un rapport au passé qui participe à la construction de l'identité et qui contribue à donner un sens au présent.
L'un des piliers de cette résistance (intérieure), ce sont ceux qui eut le plus de pertes. C'était le seul parti tourné vers un pays tourné vers un pays étranger, l'URSS. Il est né en 1917. Lors de la résistance, ils ont lutté pour des raisons patriotiques, mais surtout pour faire la révolution, détruire le capitalisme.
[...] C'est le plus grand mythe qui s'est développé. De Gaulle, les communistes et le cinema sont résponsable de la propagation du mythe. La France était avec les alliés, avec la Résistance, à Londres et à Alger. Alors que seulement deux pourcents des francais étaient résistants. La fin des mythes (1980 à nos jours) Plusieurs éléments ont mis fin aux mythes : Le livre de Robert Paxton : La france de Vichy (1973). Il démontre que les francais aurait décidé d'eux-même cette collaboration, d'envoyer les juifs francais dans les camps . [...]
[...] La mémoire Gaulliste à mieux vieillit que celle des Communistes Les mémoires de la collaboration. Elle commence à se fonder en 1945, date du procés du Maréchal Pétain. 1940-1945 : Pétain est appelé par le Président (Lebrun) en 1940. Il fait parti des vainqueurs de la premiere guerre mondiale, mais il est aussi le premier à accepter l'armistice. Grace à cet armistice, la France a eu un traitement de faveur, ce qui a permis de limiter les dégats et les décés francais, mais la France a été soumise à l'Allemagne. [...]
[...] La mémoire gaulliste. Elle est née pendant la résistance, ce qui lui fait un point comme avec la mémoire communiste. Charles de Gaulle (1890-1970), a fait la premiere guerre mondiale et s'est fait capturé avant de partir en 1940 à Londres pendant la deuxieme. Lorsque la France signe l'armistice en 1940, il est à Londres et décide d'y rester. C'est à ce moment là qu'il passe l'appel de Londres et qu'il se fait connaitre. La justice de Vichy le juge comme traitre et le condamne à la peine de mort. [...]
[...] Pour eux, la seule France etait celle de Vichy. Les discours officiels Avant 1995, les francais n'etaient pas résponsable, les grands coupables sont les allemands et les collaborateurs Depuis 1995, discours de Jacque Chirac : "La France est responsable de tout ce qui est arrivé, en particulier de la collaboration et des déportation. Mais pas seulement Pétain et Vichy : le peuple francais est aussi résponsable et doit l'assumer, jusqu'au bout" Depuis Jacque Chirac, la France admet ses responsabilités, les francais font des efforts de mémoire et répart au mieux qu'ils peuvent les dommages causés. [...]
[...] La mémoire de la SHOAH. Cette mémoire pose des difficultés : - Les juifs qui ont survécu à la guerre ne sont pas un groupe de personne soudé, qui veut attirer l'attention et parler de leur malheur. Ils veulent seulement retrouver leur vie normale. - Ils éprouvent une certaine culpabilité, pourquoi sont-ils encore en vie alors que la plupart sont morts dans les camps. La mémoire juive est restée silencieuse pendant une quinzaine d'année. Une évolution : le déclique de la mémoire juive vient du procés Eichmann en 1961, c'etait un nazi qui avait joué un role important dans le meurtre en masse de juifs. [...]
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