Historien et mémoires de la Seconde Guerre mondiale, fiche bac histoire, résistancialisme, Shoah, occupation allemande, collaboration, loi Gayssot, Gestapo, Hitler, solution finale, Charles de Gaulle
Il est important de faire la différence entre ces deux termes : l'Histoire est le récit objectif des événements passés, la mémoire est subjective, elle dépend d'une personne ou d'un groupe de personnes. La France est vainqueur de la Seconde Guerre mondiale, mais elle est battue en 1940 par l'Allemagne. De 1940-45 a lieu l'occupation allemande et une division entre collaborateurs et résistants.
[...] Fiche bac histoire : l'historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. Introduction : Il est important de faire la différence entre ces deux termes : – histoire : récit objectif des êvènements passés – mémoire : c'est subjectif, cella dépend d'une personne ou d'un groupe de personne Mémoire officielle de la Seconde Guerre mondiale (Sgm) 1 La necessaire unité national • Situation : la France est vainqueur de la Sgm, mais elle est battu en 1940 par L'Allemagne De 1940-45 : occupation allemande → division entre collaborateurs et résistants • Fin de la Guerre: division s'exprime avec violence (« épuration » → punir ou tuer les français qui ont colaboré) Epuration prend 2 formes : - officielle : mené par l'Etat (ex : procet) - clandestine : mené par le peuple qui decide de punir eux même les collaborateur (ex : femme rasé, homme battu) • Reconstruire le pays : le gouvernement d'après Guerre (GPRF) veut recréé une unité nationale Pour cela : - 1946 et 1951 :vote loi d'armistie (annule peine de mort de moins de 15 ans) pour les collaborateur - 1946 : idée de construire une mémoire officielle 2 Le résistancialisme • Résistancialisme : fait de valorisé la résistance et de la montrer comme la seule image de la Guerre • Ainsi, après la Guerre → mise en place du résistance comme unique mémoire de la G • partie politique après G : - gaullistes - communistes → ont participé activement à la resistance → se valorise avec le résistancialisme car cela renforce leur légitimité politique ex : communistes se font appelé « le partie des 75000 fusillés » → volonté de rappelé la résistance Deplus , en 1955 : création du CNR (conseil national de la résistance) • Résistancialisme est au plus haut quand De Gaule revient au pouvoir but : renforcé sa légitimité politique ex : discours de André Molraux (1964), ministre de la culture sous DeGaule, lors du transfert de Jean Moulin (organisateur de la résistance en France) au Panthéon 3 Mémoires oubliés • Les mémoires de l'autre partie de la populaption (autre que les résistants) sont passées sous silence = « mémoires oubliées » : - collaborateurs - jeunes envoyés à la STD (service de travail obligatoir), c'est un accord de Pétain avec le gouvernement allemand. [...]
[...] Pour De Gaulle, les régimes politiques d'après guerre n'ont pas à s'expliquer sur les actes commis par le régime de Vichy et par Pétain → victime de la collaboration sont passées sous silence Emergence des mémoires de la Sgm (1970-2017) 1 Nouveau contexte • Dans les années 60, plusieurs évênement historique modifies la vision des français - démission de De Gaulle (1969) puis sa mort (1970) - période de la baisse de l'influence du communisme - mouvement de mai 1968: protestation sociale, les jeunes veulent plus de liberté de parole • Grâce à ces évênement, au début des année 70 parraisent 2 ouvrages sur la Sgm : - film documentaire : Le chagrin et la pitié (1971) . Il est censuré en France pendant 10 ans et c'est la première fois que l'on entend un discours de tout les acteurs de la Sgm - ouvrage historique : La France de Vichy (1973) → montre que la collaboration n'était pas imposé au français, elle était même proposé par le régime français. Cela marque un tournant historiographique et transforme la vision des français . [...]
[...] C'était un responsable de la Gestapo et il est responsable de la déportation de plus de 3000 juifs français • L'autorité française mettent en avant cette mémoire oublié dès 1980 : - 1993 : création d'une journée de commémoration de la nafle de Vél d'Hiv (16 juillet) - 2005 : inauguration à Paris du mémorial de la Shoah 3 Histoire et politiques Les hommes politiques font du sujet et de la mémoire de la SGm un objectif politique • ils font passer des loi mémorielles - 1ère loi : la loi Gayssot en 1990, elle a pour objectif de punir les négationnistes - loi sur l'esclavage (autre sujet d'histoire) Les lois commencent donc à encadrer l'histoire • actes symboliques par les présidents - discours de Jacques Chirac en 1995. Il reconnaît que la France a participer à la déportation des juifs. [...]
[...] À partir de cette ouvrage, la France accepte les souvenirs de tout les aspects du pays La mémoire de la Shoah • Période après G : le sort des juifs n'est pas évoqué ex : Nuit et Brouillard (1955) → montre la déportation pour la 1ère fois avec des images choquantes mais les déportés juifs ne sont pas évoqués, il montre pas les chambre à gaz • 1961 : Eichmann (bras droit d'Hitler, a mis en place la solution finale) est arrêté. Il est jugé à Jerusalem. Les rescapés des camps de consentration parlent et c'est donc la 1ère fois qui l'on parle de solution finale. [...]
[...] Cela réveille les mémoires juives à l'internationnal • En France il faut attendre plus longtemps pour que le génocide juif devienne un sujet de mémoire. Le 1er discours négationnistes nier ou minimiser la réalitée historique) en 1980, provoque la multiplication des témoignages de rescapés juifs notament en 1985 dans le film documentaire Shoah. Ce film a un gra,d succés car il touche beaucoup de monde et permet de découvrir la déportation des juifs. [...]
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