Histoire de France, mémoire de la France, France de Vichy, 1944, Allemagne nazie, Résistance, déportation, Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale a été une période capitale dans l'histoire de France au XX°. Compte tenu des événements s'étant déroulés en France entre 1940 et 1945, ceux-ci ont donné naissance à différentes visions, différentes mémoires concernant le conflit qui opposa l'Allemagne nazie et la France. Nous avons la mémoire de Vichy et de la Résistance, de la déportation et du génocides. Ces mémoires comptes toutes les récits d'une même période et sont pourtant très différentes. C'est le principe même de la mémoire qui est très subjective, étant donnée qu'elle peut faire appel à l'émotion, au ressentis ou porter des enjeux politique. Alors qu'elle mémoire faut-il croire, laquelle est la plus fiable ?
[...] Après que nombre de personnage aient tenus ce genre de discours, beaucoup de juifs ayant survécus voyant leur mémoire salis et en danger témoignent afin de réhabiliter la vérité. De plus, une sorte de marginalisation des faussaires de l'histoire a lieu en France, car les journalistes décrètent que ce genre de personne ne devraient pas avoir l'opportunité de s'exprimer, d'être médiatisé et de dire sans complexe de telle calomnies car leur paroles atteignent et blessent très profondément la mémoire de beaucoup de gens. [...]
[...] Histoire et mémoire de la France de Vichy en France depuis 1944. La seconde guerre mondiale, a été une période capitale dans l'histoire de France au XX°. Compte tenu des événements s'étant déroulés en France entre 1940 et 1945, ceux-ci ont donné naissance à différentes visions, différentes mémoires concernant le conflit qui opposa l'Allemagne nazie et la France. Nous avons la mémoire de Vichy et de la Résistance, de la déportation et du génocides. Ces mémoires comptes toutes les récits d'une même période et sont pourtant très différentes. [...]
[...] A la fin de la guerre, les Français souhaitent retrouver, reconstruire leur unité. De ce fait, la France doit particulièrement faire oublier les événements consécutifs à la défaites de 1940 et plus particulièrement la France de Vichy. Il est donc logique qu'une mémoire valorisant les Résistants et minimisant la collaboration soit privilégiée pour rassembler le pays. C'est pourquoi le 9 août 1944, le gouvernement provisoire de la République Française mené par le général Charles de Gaules, décide l'annulation de tous les actes de Vichy et refuse de proclamer la restauration de la légalité républicaine le jour de la libération de Paris. [...]
[...] Enfin, le fait que ces présidents restent encore dans une mémoire Gaulliste et n'admettent pas la responsabilité totale du gouvernement de Vichy, qu'ils nient les crimes qui s'y sont produits, provoque là encore un certain scandale et un non respect face à la mémoire juive. Mais les faits qui susciteront et feront encore plus réagir la mémoire collective juive de la Shoah sont sans doute les propos tenus par les antisémites ainsi que les négationnistes comme Robert Faurisson qui développera notamment la thèse mensonge historique” qui profiterait aux Juifs du monde entier et à Israël. Ce genre de propos ont bien entendus heurtés la mémoire juive. [...]
[...] ( procès pour exécutions peines de prison ou travaux forcés et peines d'indignités). Cette vision de la France "unanimement" combattante est alors célébrée le 11 novembre 1945. Il y a d'ailleurs une sorte de propagande installée qui vise à promouvoir le mythe résistancialiste. On le voit notamment dans le cinéma avec le film de de René Clément qui qui héroise les cheminots. Mais très vite, à défaut, le souvenir de Vichy est intégré à l'élaboration du mythe résistancialiste: la thèse du "glaive et du bouclier" est alors développée. [...]
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