Guerre franco-allemande, 1870, Napoléon III, armée prussienne, France
L'armée française n'a pas été habituée au combat depuis les grandes campagnes napoléoniennes. Elle est très désorganisée et mal équipée, particulièrement dans la cavalerie. L'État major n'est guerre plus efficace, car il ne développe pas véritablement de plans, mais laisse le soin au soldat de montrer sa valeur au combat. Seulement 270 000 parviennent à être mobilisés, bien peu face à l'opposant. Mac Mahon est un des généraux les plus illustres de cette guerre.
[...] IV - Les retombées de la guerre Cette guerre aura des conséquences terribles sur le moral des français puis que la France perd l'Alsace et la Lorraine. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, les français resteront revanchards envers leur ennemi d'outre Rhin. De plus, le territoire sera longuement occupé par l'armée prussienne. De même la France doit payer des indemnités de guerre à l'ennemi d'une valeur de 5 millions de francs-or. Ce n'est que le 16 septembre 1873 que les dernières troupes Prusse quittent le territoire français. C'est à l'occasion de cette guerre qu'on retiendra le nom du chancelier Bismarck. [...]
[...] La Guerre franco-allemande de 1870 I - Les deux armées L'armée française n'a pas été habituée au combat depuis les grandes campagnes napoléoniennes. Elle est très désorganisée et mal équipée, particulièrement dans la cavalerie. L'État major n'est guerre plus efficace, car il ne développe pas véritablement de plans, mais laisse le soin au soldat de montrer sa valeur au combat. Seulement parviennent à être mobilisés, bien peu face à l'opposant. Mac Mahon est un des généraux les plus illustres de cette guerre. [...]
[...] Il parvient à mobiliser environ hommes de tous les âges. Mais rapidement la supériorité de l'ennemi apparait, et on doit renoncer à sauver la capitale pour se concentrer sur la province. Faidherbe, un autre illustre nom de la guerre de 1870 s'attaque à l'ennemi dans le nord de la France et parvient à obtenir deux signifiantes victoires le 23 décembre et le 3 janvier, pour succomber quelque jours plus tard à Saint Quentin. Parallèlement le colonel Denfert Rochereau tient une résistance héroique de la ville de Belefort qui est encerclée par hommes et ne se rendit qu'à la fin de la guerre. [...]
[...] La première offensive à lieu à Wissembourg le 4 août 1870. Elle accule les soldats de Mac Mahon qui dès le 6 août est contraint de livrer l'Alsace. Tendis qu'une autre partie de l'armée allemande attaque la Lorraine et prend Nancy le 14 août. Le 12 août le gouvernement parisien se retire à Châlon, après que Louis Napoléon Bonaparte est confié le commandement suprême au Maréchal de France Bazaine. De grande batailles aux alentours de Metz font rages les jours suivants : Borny, Rezonville et Saint Privat. [...]
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