Guerre de Crimée, 1854- 1856, Louis Napoléon Bonaparte, siège de Sébastopol, Russie
« L'empire c'est la paix » 2 décembre 1852. -> Cette guerre, Louis Napoléon Bonaparte (LNB) ne l'a pas voulue. Il souhaitait se consacrer essentiellement à la politique intérieure. Une fois devenu empereur, il est forcé de parler de politique extérieure.
Sa politique extérieure :
- La paix (et il va faire la guerre).
- Rayer ce qu'il s'est passé en 1815 au congrès de Vienne, conformément à son idée de souveraineté nationale.
- En filigrane : rendre à la France ses frontières naturelles.
->Paradoxe de sa politique : idée de libérer les peuples, mais veut lutter pour ses frontières.
[...] Pertes considérables (épidémies, combats) 8 septembre 1855 : victoire de Malakoff (forteresse pour défendre Sébastopol) Les russes évacuent la ville, Sébastopol est prise. Nicolas Ier meurt entre temps. Préliminaires de paix le 4 février 1856. Congrès de Paris LNB arbitre l'Europe ( politique imposée par diplomatie et non puissance militaire. L'armée française a des problèmes d'effectifs + une armée habituée aux guérillas coloniales et non aux combats et rase campagne. LNB se tourne ensuite vers le Russie après lui avoir fait la guerre, il subodore la guerre contre l'Autriche et doit trouver des alliés continentaux. LNB refusera constamment une alliance avec l'Autriche. [...]
[...] La Russie profite de cette situation pour établir son contrôle. Face à elle, il y a l'Angleterre : pas question de laisser la Russie librement sur la route des Indes orientales. La France n'a qu'un allié possible : l'Angleterre. (seul régime libéral) + lien affectif de LNB. Intervention dans les Balkans via envoi de la flotte. La Russie envahit les principautés. Ultimatum au tsar le 27 mars 1854 : refus, donc guerre. ( On songe d'abord à débarquer dans les Balkans et traverser jusqu'au Nord : mais difficile. [...]
[...] L'empire c'est la paix 2 décembre 1852. ( cette guerre, Louis Napoléon Bonaparte (LNB) ne l'a pas voulue. Il souhaitait se consacrer essentiellement à la politique intérieure. Une fois devenu empereur, il est forcé de parler de politique extérieure. Sa politique extérieure : La paix (et il va faire la guerre) Rayer ce qu'il s'est passé en 1815au congrès de Vienne, conformément à son idée de souveraineté nationale En filigrane : rendre à la France ses frontières naturelles Paradoxe de sa politique : idée de libérer les peuples, mais veut lutter pour ses frontières Les français en 1848 votent-ils pour la politique extérieure ? [...]
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