Histoire, Guerre fratricide, guerre d'Algérie, Gouvernement Provisoire de la République Algérienne, Messali Hadj, révolte des Français d'Algérie, référendum sur l'autodétermination, OAS (Organisation Armée Française), harkis
Messali Hadj : père fondateur du nationalisme en Algérie.
Les Français (civils et militaires) sont pris pour cible par les algériens indépendantistes (FLN).
Pierre Mendès-France refuse une guerre civile en Algérie : « L'Algérie c'est la France ».
Jacques Soustelle : gouverneur général de l'Algérie.
L'ALN recrute beaucoup de Français d'origine algérienne : Krim Belkacem.
Toussaint 1954 : attentats contre les français : répression des militaires.
Conférence de Bandung : les 29 pays du Tiers-Etat soutiennent l'action du FLN.
L'Algérie, toujours département français, est considérée comme un Etat par plusieurs Etats : Chine.
[...] Le FLN réplique : nouvelle guerre entre Français en Algérie. Les pieds-noirs sont pris en étau entre les violences de l'OAS et du FLN: ils quittent leur terre natale. 1M de personnes arrivent en France : l'Etat n'est pas préparé. Ultime référendum pour l'indépendance en Algérie : 1er juillet 1962 : 99% de oui juillet 1962 : de Gaulle reconnaît l'indépendance de l'Algérie. L'armée française quitte l'Algérie. Des milliers de harkis sont massacrés par le FLN, car ils sont considérés comme des traîtres morts Algériens en 8 ans de guerre morts français. [...]
[...] LA GUERRE D'ALGERIE Messali Hadj : père fondateur du nationalisme en Algérie. Les Français (civils et militaires) sont pris pour cible par les algériens indépendantistes (FLN). Pierre Mendès-France refuse une guerre civile en Algérie : L'Algérie c'est la France Jacques Soustelle : gouverneur général de l'Algérie. L'ALN recrute beaucoup de Français d'origine algérienne : Krim Belkacem. Toussaint 1954 : attentats contre les français : répression des militaires. Conférence de Bandung : les 29 pays du Tiers-Etat soutiennent l'action du FLN. [...]
[...] Guerre fratricide entre les nationalistes algériens : FLN vs. MNA (Messali Hadj) février 1958 : bombardement de la frontière tunisienne : dénonciation à l'ONU, effondrement de la Quatrième République, manque d'unité publique. Charles de Gaulle observe tout et place ses subordonnés : Chaban-Delmas, Massu, Soustelle. A Alger, des révolutions ont lieu : l'armée prend le pouvoir en Algérie : généraux Massu et Salan. Le destin politique français est lié à Alger. Pierre Pflimlin, président du Conseil, démissionne à cause de sa mauvaise politique en Algérie. [...]
[...] Robert Lacoste se voit attribuer des pouvoirs spéciaux : carte blanche à l'armée pour écraser le FLN. Mitterrand revient comme Ministre de la Justice : 112 condamnés à mort politiques. Ahmed Ben Balle : prisonnier qui deviendra le premier président d'Algérie. Général Salant : fermeture des frontières pour épuiser les rebelles. Assemblée Générale de l'ONU : victoire diplomatique pour le FLN. La France est critiquée par l'international. Le FLN lance un appel à la grève générale dans la population : soutien populaire visible. [...]
[...] De Gaulle libère Messali Hadj et prisonniers. Plan Chan (nouveau général en Algérie) : plan massif (napalms soldats) pour tuer les FLN. Les prisonniers deviendront des membres des harkis : combat contre leurs propres frères. La victoire permet à de Gaulle de négocier en position de force septembre 1959 : de Gaulle accepte l'autodétermination pour les Algériens : droit de trancher. Massu est renvoyé par de Gaulle : mouvement de révolte des Français d'Algérie décembre 1960 : de Gaulle va en Algérie et les partisans de l'Algérie Française se sentent lâchés décembre 1960 : affrontements entre civils français et musulmans à Alger : 5 jours sanglants janvier 1961 : référendum sur l'autodétermination en Algérie: 75% en métropole en Algérie. [...]
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