Génocide juif, Shoah, politique antisémite, Seconde Guerre mondiale, nazis, politique concentrationnaire nazie
La Shoah est un mot hébreu signifiant « catastrophe », elle désigne l'organisation par l'État, par le régime nazi et ses collaborateurs, de l'extermination d'environ six millions de Juifs.
La « solution finale » consiste à exterminer les juifs d'Europe par plusieurs méthodes comme le gazage ou les fusillades.
Il y eut entre 5 et 6 millions de victimes (en référence avec le chiffre cité lors du procès de Nuremberg) selon les historiens pendant ce génocide.
[...] D'autre essayaient de revenir dans la vie active grâce à des organisations comme l'ORT (Organization for Rehabilitation through Training) qui formait ces survivants. Le tribunal Militaire International (TMI) siège à Nuremberg, car la Déclaration de Moscou signé en octobre 1943 impose que les individus jugés rersponsables de guerre seraient extradés dans les pays ou les actes avaient été comis. Ce tribunal juge les criminels de guerre, car il définit les crimes contre l'humanité comme étant des ‘'assassinat'', extermination et même persécution pour des raisons politiques, raciales ou religieuses. [...]
[...] Les ‘'ghettos'' sont créés dans les villes de Pologne pour séparer les Juifs de la population non juive. Ils deviennent des instruments au service de la politique d'extermination, car avec la mise en oeuvre de la solution finale (1942), les Allemands déportaient systématiquement les Juifs des ‘'ghettos'' vers les camps d'extermination pour les tuer. Une infime partie d'entre eux étaient déportés vers les camps de travail forcé ainsi que les camps de concentration. Dans la ‘'politique concentrationnaire'', ceux qui étaient internés dans les camps de concentration étaient: les ‘'ennemis de l'État'', la plupart furent des communistes, socialistes, démocrates sociaux, Tsiganes, Témoins de Jéhovah et les Homosexuels allemands ainsi que tout autre personnes accusées d'avoir un comportement ‘'asocial''. [...]
[...] Aprés cela il maintinrent leurs politiques de non-intervention et ne bombardèrent ni les chambres à gaz, ni les voies ferrés. Dans ‘'la résistance juive'', il y eu plusieurs cas de révolte, comme le soulèvement du ghetto de Varsovie entre avril et mai 1943, qui fut déclenché par des rumeurs implicant la déportation du reste des habitants (40 000) de ce ghetto vers un camp d'extermination, cette révolte fut la plus importante de l'Europe occupée. Par la suite les habitants commencèrent à bâtir des bunkers en préparation d'une révolte proche ou lointaine. [...]
[...] -Les médecins allemands entreprirent le meutre des handicapés placés en institutions dans toute l'Allemagne (pour ne pas qu'ils puissent donner naissance à des enfants qui ne seraient pas issus totalement de la race aryennes, ‘'race des seigneurs'') au cours d'une opération qu'ils baptisèrent par auphémisme ‘'euthanasie''. -Les dirigeants nazis entreprirent ce qu'ils appelèrent une ‘'purification ethnique'' dans les territoires occupés à l'est, en Pologne et en Union Soviétique. Cette politique inclut le meurtre et l'extermination des ‘'races'' ennemies, notamment le génocide des juifs européens. [...]
[...] Le pogrom le plus tristement célébre fut celui de Iasi en Roumanie en 1941 qui fut 8000 morts Juifs et réalisé avec le soutien de la dictature militaire fasciste. Les pogroms ne s'arrêtèrent pas avec la Seconde Guerre mondiale. En 1946, un pogrom éclatait à Kielce, en Pologne. Les habitants attaquèrent les Juifs aprés que de fausses rumers s'étaient répandues selon lesquelles les Juifs avaient enlever un enfant chrétien pour utiliser son sang. Quarante-deux juifs furent tués et environ cinquante blessés. [...]
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