Succession de résumés en 100 mots avec notamment: Alain, Barthou, Blum, Briand, Daladier, Doriot, Herriot, Laval, Maurras, Millerand, Poincaré, Reynaud, Tardieu, Thorez, Pompidou, Jaurès, les mesures économiques et sociales du Front Populaire, les ligues en France pendant l'entre-deux-guerres, l'alliance franco-russe, la bataille de Verdun, le 6 février 1934, De Gaulle, Mitterrand, Pinay, Pétain, Foch, Nivelle, Gallieni
[...] Mais à son retour, il se montre partisan de l'envoi de délégués de son parti à la Conférence de Stockholm condamnée par le gouvernement français. Il devient en 1918 directeur de L'Humanité et le demeurera jusqu'à sa mort. En 1920, il fait, avec L.O Frossard, secrétaire général du parti, un second voyage en Russie afin d'examiner les conditions d'adhésion du parti socialiste à l'Internationale communiste. Revenu en France, il est l'un des plus ardents propagandistes de cette adhésion, qui doit transformer le parti socialiste en parti communiste. A partir du Congrès de Tours, Cachin est l'un des principaux dirigeants du PC. [...]
[...] En 1941, il tenta de créer un parti unique : le rassemblement national populaire. En 1942, il fonda le Front révolutionnaire national, réunissant autour du RNP le parti franciste et d'autres groupes de collaboration. Très proche de Laval, il chercha à regrouper la collaboration de gauche. Laval, en 1944, en fit un ministre du travail. A la libération, il s'enfuit avec sa femme et finit par se réfugier dans un couvent italien où il resta caché jusqu'à sa mort. Doriot (1898-1945). Jacques. [...]
[...] Il démissionne et prépare l'exposition coloniale de 1931. Les frères Cambon Ce sont deux diplomates qui ont joué un rô1e actif dans la politique étrangère avant 1914. Paul Cambon (1843-1924), chef de cabinet de Ferry en 1870, préfet, Résident à Tunis en 1886, il est l'un des fondateurs de l'Alliance Française. Ambassadeur à Londres (1898-1920), il est l'un des artisans de l'Entente Cordiale, du rapprochement anglo-russe et de l'entrée en guerre de la Grande Bretagne en 1914 Jules Cambon (1845-1935), gouverneur général de l'Algérie, puis ambassadeur à Washington, Madrid et Berlin (1907-1914) engage des conversations pour le règlement de la seconde crise marocaine. [...]
[...] Maire du 18ème arrondissement après le 4 septembre, il tente vainement de réconcilier Versailles et la Commune, mais a la chance d'être absent de Paris pendant la répression. A partir de 1876 il est député de Paris. Chef de file des radicaux intransigeants, il est le tombeur des ministère Gambetta (problème du mode de scrutin) et Ferry (sur la question coloniale, plus particulièrement le problème du Tonkin en 1884). pendant que son patriotisme le pousse à soutenir un moment Boulanger. Le scandale de Panama provoque une éclipse politique dont le fait sortir le J'accuse de Zola, publié dans son quotidien, L'Aurore. [...]
[...] Membre de plusieurs cabinets depuis 1948, c'est un ministre discret et efficace. De mars à décembre 1952, cet inconnu devenu président du Conseil et ministre des Finances se consacre au redressement du franc. Il participe encore à plusieurs gouvernements comme ministre des affaires étrangères. En 1958, il accepte la Ve République. Le général de Gaulle lui confie les Finances. Il est un des artisans du nouveau franc. Depuis 1960, retiré de la scène politique, il est un véritable mythe consulté dans les temps difficiles. [...]
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