Le 1er septembre 1939, Hitler envahit la Pologne. En réponse à cet acte d'agression, l'Angleterre et la France déclarèrent le 3 septembre de cette même année, la guerre à l'Allemagne. La Seconde Guerre mondiale commençait. L'armée française fut aussitôt mobilisée. Mais l'état-major affirmait la nécessité d'une stratégie défensive.
Loin de tenter d'aider la Pologne à résister à la Wehrmacht, il préféra placer les troupes françaises le long des frontières, en particulier derrière la ligne Maginot, et y attendre l'attaque allemande. Celle-ci ne vint qu'en mai 1940.
[...] Ils reçurent cependant l'aide d'un contingent français, la 2e DB du général Leclerc, et Paris fut libérée le 25 aout. Conclusion (La France libérée) Ainsi, à la fin de l'année 1944, presque tout le territoire français avait été libéré. Il fallut cependant encore plusieurs mois pour vaincre Hitler, et ce n'est que le 8 mai 1945 que l'Allemagne Capitula. Bibliographie La Seconde Guerre mondiale en France de Jean-Noël Grandhomme (2004). La France pendant la Seconde Guerre mondiale de Jean Quellien, Jean- Luc Leleu, Françoise Passera, Michel Daeffler (avril 2010). [...]
[...] Malgré l'opposition d'une partie du gouvernement, le nouveau président du conseil, le maréchal Pétain, sollicita l'armistice, qui fut signé le 22 juin. Il prévoyait la démilitarisation de la France, et sa division en deux zones de part et d'autre d'une ligne de démarcation : Le Nord et la côte Ouest passaient sous l'administration directe des Allemands, tandis que le reste du pays restait libre. Le gouvernement français s'installa à Vichy. Le maréchal Pétain mit alors à profit le désarroi provoqué par la défaite pour se faire voter les pleins pouvoirs. [...]
[...] Les partis politiques et les syndicats disparurent. Pétain tenta aussi de rétablir dans le pays les valeurs traditionnelles symbolisées par le slogan : Travail, Famille, Patrie. Enfin il mit en place, dès octobre 1940, une législation antisémite, en définissant un statut des Juifs et en excluant ceux-ci de nombreuses professions. Vis-à-vis de l'Allemagne, la stratégie de Pétain fut de tout faire pour obtenir pour la France une place de choix dans la future Allemagne Nazie. C'est pourquoi, par l'intermédiaire de Laval, il s'engagea progressivement dans une politique de collaboration avec Hitler. [...]
[...] Ce fut le sens de son appel, à partir de Londres, le 18 juin. Celui-ci permit la constitution de divisions armées de volontaires qui participèrent aux combats aux côtés des alliés. Pendant ce temps, en France, se constituèrent des réseaux de résistants qui tentaient de gêner les nazis en menant une action de propagande/ distribution de tracts et de journaux clandestins, en organisant des sabotages et en faisant parvenir des renseignements aux Alliés. La résistance extérieure, localisée à Londres, et la Résistance intérieure, sur le territoire national, s'unifièrent en 1943, grâce à l'action de Jean Moulin. [...]
[...] En réponse à cet acte d'agression, l'Angleterre et la France déclarèrent le 3 septembre de cette même année, la guerre à l'Allemagne. La Seconde Guerre mondiale commençait. La drôle de guerre et quel événement y a mis fin L'armée française fut aussitôt mobilisée. Mais l'état-major affirmait la nécessité d'une stratégie défensive. Loin de tenter d'aider la Pologne à résister à la Wehrmacht, il préféra placer les troupes françaises le long des frontières, en particulier derrière la ligne Maginot, et y attendre l'attaque allemande. [...]
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