La France et la Libération : les défis de l'après guerre (1944 ? 1946)

Résumé du document

La France et la Libération : les défis de l'après guerre (1944 ? 1946), cours d'histoire de 13 pages



La libération de Paris n'est pas l'achèvement de la 2nde guerre mondiale, une grande partie du territoire fr reste occupée. Les forces all sont chassées de l'Ouest du pays, le débarquement de Provence entraine le reflux des troupes all du Sud mais les régions du Nord et de l'Est restent tenue par les forces de l'occupation (Strasbourg ne sera libéré que le 23 nov 44 et fin 44 contre offensive all qui va faire croire inversion des tendances sur la frontière de l'est). Cette France qui se libère progressivement reste désorganisée d'un pt de vue éco, est affaiblie par 4 ans de pillage éco, privée d'une partie de ses forces vives (2 millions et demi de fr tjs retenue en All = + d'1 million de prisonniers de guerre retenu depuis 1940, 900 000 requis du STO, les déportés politiques ou raciaux = 80 000 résistants, 75 000 juifs déportés depuis 42?) Une semaine des absents est organisés en 44 pour rappeler à l'opinion publique le sort de ces populations.





I. Terminer la guerre.

II. Reconstruire sur de nouvelles bases.

III. La République emportée : du 13 mai 1958 au retour du Général De Gaulle.

Extraits

[...] Tte ces divisions, les autorités de l'après guerre vont essayé de les limiter dans les discours sur cette période. Un défi particulier sur ces discours = rendre hommage aux résistants, aux combattant cad une minorité active et rebelle. Ces discours doivent en même tps rassembler la soc fr. cette mission sera remplie par 2 mémoires dominantes: la mémoire gaulliste et la mémoire communiste. La mémoire gaulliste se confond avec la mémoire officielle car de gaulle est le chef de la résistance et de l'Etat repose que l'idée de la France défendue par de gaulle, minimise la portée de l'Etat fr et de Vichy, présenté comme un gouvernement de fait, soutenu par la poignée de traites et d'indignes. [...]

[...] - redistribution sociale = la réforme n'est pas qu'un aménagement technique mais doit changer la philosophie du système et faire de la sécurité sociale un moyen de transfert de revenu. Les anciens systèmes = par capitalisation (certains cotiser selon leurs moyens et recevait en fonction) alors que maintenant les cotisations sont les mêmes mais la répartition est selon les revenus. Idée = cette sécurité sociale fait appelle à la solidarité nationale. LIMITES = ce système concerne les seules salariés. Les non salariés et indépendants sont exclus de ce système. [...]

[...] L'idée est que la rév fr avait donné des droits po et que maintenant il faut rendre ces droits qui avaient été confisqué par Vichy mais y ajouté des droits sociaux = protection sociale, régulation de l'éco par l'Etat. On ne veut pas un retour du capitalisme d'avant guerre qui avait engendré la crise de 29. L'influence principale de ce texte est celle de Léon Blum (cf A l'échelle humaine = il se prononce pour un socialisme humanisme qui se soit pas dogmatique). Ces orientations ont va les retrouevr dans les réformes de structures de la libération. [...]

[...] La libération de Paris n'est pas l'achèvement de la 2nde guerre mondiale, une grande partie du territoire fr reste occupée. Les forces all sont chassées de l'Ouest du pays, le débarquement de Provence entraine le reflux des troupes all du Sud mais les régions du Nord et de l'Est restent tenue par les forces de l'occupation (Strasbourg ne sera libéré que le 23 nov 44 et fin 44 contre offensive all qui va faire croire inversion des tendances sur la frontière de l'est). [...]

[...] Les représentants du MRP finissent par quitter l'élaboration du projet. Les rédacteurs veulent se situer dans la grande tradition révolutionnaire. Cet héritage apparaît dans la déclaration des droits qui précède le texte présenté aux députés. On retrouve les droits de l'homme de 1789 et 1793 et on rajoute de nouvelles libertés politiques : la notion de droit d'asile, les droits économiques et sociaux (droit au travail, à l'assistance, au loisirs, à la culture, à la propriété). L'organisation des institutions révèle aussi cette volonté de se placer dans l'héritage révolutionnaire. [...]