Les français des années 30, fiche d'histoire contemporaine de 5 pages
Nombre hab 1911 = 41,6 millions et en 1931 = 41,3 millions. Cette stagnation de la population s'explique avant tout par une baisse persistante de la natalité que la diminution de la mortalité compense de façon insuffisante => plus faible croissance de la pop de toutes les gdes puissances.
[...] Audience freinée par les mesures de Front populaire. Occupation = heure de la revanche. Mais source de frustrations nvlles : gvt Vichy et Pétain les flattent mais cherche à contrôler le ravitaillement par le biais de la corporation paysanne. Pour l'immense majorité de la pop, les paysans sont des »profiteurs de guerre L'évolution qu'ils subissent est irréversible En 1944, monde agricole traumatisé et à reconstruire L'évolution contrastée des bourgeoisies Vers millions de bourgeois. Catégorie qui regroupe la grande bourgeoisie (banquiers, grands industriels et propriétaires, le patronat), la moyenne bourgeoisie d'hommes d'affaires (professions libérales dont spectaculaire ascension sociale dans l'entre 2 guerres, salariés supérieurs, notaires) et une petite bourgeoisie (ou classes moyennes) différences considérables de revenus ou de modes de vie. [...]
[...] Les Français des années 30 Une démographie stagnante Nombre hab 1911 = 41,6 millions et en 1931 = 41,3 millions. Cette stagnation de la population s'explique avant tout par une baisse persistante de la natalité que la diminution de la mortalité compense de façon insuffisante plus faible croissance de la pop de toutes les gdes puissances. Faiblesse de la natalité : taux de natalité : 21,5/1000 (1920) puis 18,2/1000 (1926-1930) et 14,8/1000 (1936-1938) à la veille de la guerre. Causes : mentalité malthusienne antérieure à RF qui pousse les familles à diminuer le nombre de leurs enfant généralisation des comportements malthusiens aux bastions natalistes (régions catholiques de l'ouest) phénomène des classes creuses = arrivée à l'âge de la procréation des enfants nés durant la Grande Guerre, bp moins nbrx effet de la dépression économique des 30s où diminution mariages fonc diminution naissances. [...]
[...] De plus, le patronat est tout puissant. Depuis fin 1GM, les progrès de la condition ouvrière ont été faibles : le salaire réel augmente très fortement de 1920 à 1923, puis stagnation jqen 1935, puis hausse jqen 1936 puis fléchissement de 1937 à la guerre hausse pouvoir d'achat se traduit par des progrès manifestes dans les conditions de vie : meilleure alimentation, l'habillement évolue, certains accèdent modestement aux loisirs, pop alphabétisée presse, bicyclette Mais pb du logement préoccupant, habitations insalubres, ceinture rouge = symbole de ce monde à part que la bourgeoisie abandonne sans regret au PCF. [...]
[...] Le paysan se sent dépossédé par la commercialisation de ses productions. L'approvisionnement régulier des zones urbaines restructuration des méthodes de distribution et de vente. Il faut rémunérer de nombreux intermédiaires les agriculteurs les accusent de s'enrichir à leurs dépens. La grande dépression accélère la baisse des prix agricoles et dégringolade supérieure aux produits manufacturés. Les rentrées d'argent sont de moins en moins importantes tandis que les biens d'équipement coûtent de plus en plus cher. Les mvts contestataires se réfugient parfois dans une démagogie antiparlementaire extrême droite. [...]
[...] 11 mars 1932 loi prévoyant l'attribution, à certaines catégories de la population, d'allocations familiales. Véritable politique démographique qu'à la veille de la guerre avec les décrets-loi de 1938 étendant les allocations familiales à de nvlles catégories de travailleurs et le décret-loi du 29 juillet 1939 dit Code de la Famille qui harmonise les mesures en matière de successions, d'impôts et d'allocations à tous les salariés. Conversion de l'école aux thèses populationnistes : 1935, pyramide des âges = élément incontournable de l'enseignement de la géographie . [...]
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