conditions de travail, ouvriers, évolution, deuxième moitié du XIXe, début du XXe siècle, salaires
À la deuxième moitié du XIXe siècle, les conditions de travail des ouvriers sont très difficiles. La durée quotidienne de travail est d'environs plus de 12 h entre 1850 et 1875(doc2b), sans jour de congé, pour un travail dangereux où parfois on est obligé de prendre des mesures de sécurité, car il n'y a pas de protections comme « introduire du coton dans le nez, la bouche, le gosier... » (doc1b). Les hommes comme les femmes, comme les enfants travaillent dans des usines. Certaines personnes travaillent « 17heures par jour » (doc.1a). Les enfants meurent très jeunes « J'avais à cette époque (...) un frère (...), Jean mourut (...), il avait seize ans (...) » (doc.1d). Il faut respecter des règlements pour ne pas être renvoyé (doc3).
Les salaires sont très bas et les femmes gagnent moins que les hommes. Un imprimeur gagne par exemple 0.43 franc et une femme gagne 0.20 franc.
[...] en cas de conflit entre un ouvrier et un patron (ou un contremaitre), la parole du patron (ou du contremaitre) l'emporte sur celle de l'ouvrier (doc.3). Cette loi sera supprimée quelques années plus tard. Les conditions de travail et de vie L'ouvrier est soumis à la discipline et à la réglementation imposées par son patron. En cas de ralentissement de la demande, le patron se débarrasse d'une partie de ses ouvriers. Pas de protection patronale et pas de loi qui défend l'ouvrier, nous sommes dans un Capitalisme Libéral. [...]
[...] Les enfants et les femmes étaient battus car ils ne pouvaient pas se défendre. Il n'y a aucune lois qui protège les enfants. En France certains sont payés 1franc/jour = 2Kg de pains et 1L de lait. En 1906, la majorité du budget des ouvriers est consacré à la nourriture alors que en 1937, la moitié du budget seulement est consacré a la nourriture, il y a donc eu évolution. Le paiement est parfois un paiement en nature comme par exemple ils recevaient des produits de l'usine en guise de salaire. II. [...]
[...] L'amélioration progressive dans la deuxième moitié du XIXème siècle et au début du XXe sècle. Hausse générale du niveau de vie car des hommes prennent consciences que des personnes vivent comme bêtes. Il y a une augmentation des salaires, certains salaire augmentent très fortement comme les imprimeurs en 1896 gagnaient que 0.43 francs alors que en 1938 ils gagnent 6.87 francs (doc2a). La nourriture des ouvriers se diversifie. Les ouvriers se logent dans des conditions plus favorables. Les patrons vont s'engager dans une politique paternaliste c'est à dire qu'ils vont essayer de soulager les plus pauvres. [...]
[...] Au début du XXe siècle, les conditions de travail sont meilleurs car on travaille moins entre 1893 et 1902, on travaille entre 10.30 /11h (doc2b). Les salaires ont aussi augmentés fortement. Les imprimeurs gagnaient en franc alors qu' en 1938, ils gagnent 6.87 francs. 2)Le règlement de l'usine Simens reflète la crainte qu'inspire le monde ouvrier et laisse entrevoir les valeur du capitaliste car les ouvriers ne peuvent pas se permettre de répondre aux patrons ou aux contremaitres sinon ils perdent leur travail ''toute résistance à un supérieur( . [...]
[...] NE JAMAIS PRESENTER LES DOCUMENTS DANS UN COMMENTAIRE Première Partie: 1)A la deuxième moitié du XIXe siècle, les conditions de travail des ouvriers sont très difficiles. La durée quotidienne de travail est d'environ plus de 12h entre 1850 et 1875(doc2b), sans jour de congé, pour un travail dangereux où parfois on est obliger de prendre des mesures de sécurités car il n'y a pas de protections comme ''introduire du coton dans le nez, la bouche, le gosier . ''(doc1b). Les hommes comme les femmes, comme les enfants travaillent dans des usines. [...]
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